Cette semaine, jeudi 25 janvier, Alain Perea démissionné d’office de son mandat de Vice-Président du Grand Narbonne depuis la validation de son élection à l’Assemblée Nationale par le Conseil Constitutionnel, Jacques Bascou, son président (du Grand Narbonne) anciennement socialiste, soumet au vote de son conseil communautaire un projet de délibération afin de procéder à l’élection de son remplaçant au sein de l’exécutif de l’Agglo.
Dans un billet publié le 10 janvier (4000 « vues » à ce jour), j’informais mes lecteurs d’une découverte archéologique exceptionnelle sur un terrain jouxtant le musée régional de la Narbonne antique (MuReNa) *. Plus d’une centaine de tombes romaines, disais-je, gisaient là, attendant ce miraculeux coup de pelle d’une entreprise de terrassement oeuvrant pour le compte de l’aménageur public du futur quartier des « Berges de la Robine ».
Samedi 13 janvier, page 19 de l’Indépendant : « Interview de la Vice-Présidente de la Région Occitanie, chargée de l’économie », madame Nadia Pellefigue (article complet en cliquant sur ici).
Où ? à Las Vegas « dans l’effervescence de l’Eureka Park, l’immense hall qui abrite, entre autres, les 320 membres de la French Tech, au rez-de-chaussée du fastueux Venetian », précise l’envoyée spéciale de « l’Indép ». Voilà pour l’ambiance !
Quelle semaine pour le PS narbonnais ! Si ses troupes (désormais rares et idéologiquement perdues depuis son implosion politique récente : le spectacle donné au plan national en est le triste reflet) et son électorat s’éparpillent un peu partout dans la nature, ses élus locaux (ils sont encore nombreux), à l’inverse, sont déjà entrés en compétition pour les prochaines échéances électorales (larvée, mais vive : c’est un euphémisme !)
Comme pour chaque génération de contrats de plan Etat-Région (CPER), de lourds retards dans l’engagement et l’exécution des crédits sont inévitablement constatés. Celui couvrant la période 2015-2020 ne manque pas à la règle. Alors qu’ils devaient démarrer en 2014, ils n’ont été finalement signés qu’à l’été 2015 (plus d’un an de retard !). De plus, une révision a été opérée en 2016 pour ajuster les contrats aux nouveaux périmètres des grandes régions fusionnées. Aussi est-il prévu, comme à chaque génération ou presque de CPER, une clause dite de « revoyure ». Elle devrait se discuter dans ce mois de janvier 2018.