Alors que l’Espace de Liberté du Grand Narbonneporte un projet inédit autour des sports de glisse, en coopération avec l’ex-patineur Philippe Candeloro, l’adjoint aux sports de la Ville de Narbonne, monsieur Pairo, lui, veut aller vite et lance son propre projet de skate parc sur le site de l’Espace de Liberté, et sur des terrains propriétés de la mairie. Il faut savoir, en effet, que le parking de l’équipement géré par la Communauté d’Agglomération lui appartient – à la Ville – ce qui, à proprement parler, est un non-sens économique et technique. Cela dit, il suffirait que Monsieur Pairo déplace de 15, 17 mètres seulement son projet pour que , si j’ai bien compris, son interconnexion avec la patinoire, un jour, se fasse. Rien n’est donc perdu!
Partie 1 : Grève interprofessionnelle du 9 avril: austérité, précarité et …contre-regard ironique de Michel Santo. Didier Mouly, un an de mairie, interview de Midi Libre… et divers degrés de lecture.
Partie 2 : Guerre des capitales: Toulouse vs Montpellier, et une nouvelle occasion d’un show Saurel. Suivi d’une autre guerre: celle des Didier, Mouly ayant parait-il « piqué » à Codor son rugbeach estival pour le transférer à Narbonne-Plage. Hourrah, le nouvel abribus du Palais du Travail de Narbonne entre enfin en service…Score final: un platane en moins !
Partie 3: Henri Martin, une espèce rare (et donc à protéger ?) : le conseiller départemental d’opposition dans l’Aude…évoque la situation politique actuelle dans l’Aude après les élections départementales…ainsi que quelques grands dossiers dont il a la charge au Grand Narbonne.
Étonnamment, l’ouverture, si j’ose dire, d’Éropolis, dans ma provinciale petite cité audoise, bien sage habituellement pourtant, du moins je le croyais naïvement jusqu’ici, coïncide avec le retour des martinets. L’an dernier, c’était le Lundi de Pâques qu’ils criaient dans un ciel Narbonnais sombre et bas. Les martinets, les oiseaux, pas d’autochtones érotomanes excités par des volées de petits fouets. Toujours est-il que, dans ce salon printanier, sont proposées, par des hôtesses bien carrossées, de puissantes montées de sève. À la carte, dans des chambres aux fantasmes « avec une ou deux filles , avec ou sans sextoy », nous dit-on. Tout cela mêlé au Parc des Expositions, évidemment! J’imagine d’ici Jacques Bascou, le propriétaire des lieux, en maître des cérémonies tout de cuir vêtu , une paire de ciseau dans une main, un fouet dans l’autre, l’inaugurer cette foire du sexe; j’entends aussi ses « rugissements » de plaisir à présenter ce nouveau concept de Narbonne-Sexopole comme l’indiscutable preuve de l’attractivité de Narbonne et de la (les!) Narbonnaise (s!). Pendant ce temps d’intense dépense d’énergie libidineuse, Didier Mouly, chut, chut! jaloux, très ! intrigue et serait prêt à « se déshabiller » m’apprend la rumeur publique, mesquine et sans doute intéressée , pour récupérer, aux forceps, le traditionnel « salon du mariage », afin de l’installer chez lui, si je puis dire, au Palais du Travail. Un site, austère et froid, sans chambres, cabines, sextoy ni martinets… Quoique! Sait-on jamais…