Beaucoup de monde au Théâtre Scène Nationale de Narbonne, comme il se devait, pour assister à la réunion publique sur la LGV Montpellier-Perpignan, hier. Les riverains narbonnais du pont de Carcassonne s’y étaient, eux-aussi, invités pour protester contre l’interdiction préfectorale d’y circuler en autos, vélos et autres engins motorisés à deux ou plusieurs roues. Un pont, comme on le sait, qui enjambe des voies ferrées et menace de s’effondrer. Ironie de l’histoire, la gare TGV de Narbonne serait réalisée, elle, sur un pont, plutôt un viaduc, passant au dessus de la route de Carcassonne, du côté de Montredon, apprenait-on pendant la-dite réunion, alors que dans le même temps nos riverains en colère étaient informés que leur pont, lui, allait être rouvert à la TPV – très petite vitesse -, c’est à dire aux piétons, vélos et roolers cette fin de semaine, le 28 avril! Mais au train où vont les affaires financières de l’État et de Réseau Ferré de France, ce qui ne fut pas dit, je crains que, sur ce pont on ne puisse y circuler encore longtemps autrement qu’à pied et vélos, et sur le viaduc personne ne sait à quelle date on y verra s’arrêter le premier TGV …
Alors que l’Espace de Liberté du Grand Narbonneporte un projet inédit autour des sports de glisse, en coopération avec l’ex-patineur Philippe Candeloro, l’adjoint aux sports de la Ville de Narbonne, monsieur Pairo, lui, veut aller vite et lance son propre projet de skate parc sur le site de l’Espace de Liberté, et sur des terrains propriétés de la mairie. Il faut savoir, en effet, que le parking de l’équipement géré par la Communauté d’Agglomération lui appartient – à la Ville – ce qui, à proprement parler, est un non-sens économique et technique. Cela dit, il suffirait que Monsieur Pairo déplace de 15, 17 mètres seulement son projet pour que , si j’ai bien compris, son interconnexion avec la patinoire, un jour, se fasse. Rien n’est donc perdu!
Partie 1 : Grève interprofessionnelle du 9 avril: austérité, précarité et …contre-regard ironique de Michel Santo. Didier Mouly, un an de mairie, interview de Midi Libre… et divers degrés de lecture.
Partie 2 : Guerre des capitales: Toulouse vs Montpellier, et une nouvelle occasion d’un show Saurel. Suivi d’une autre guerre: celle des Didier, Mouly ayant parait-il « piqué » à Codor son rugbeach estival pour le transférer à Narbonne-Plage. Hourrah, le nouvel abribus du Palais du Travail de Narbonne entre enfin en service…Score final: un platane en moins !
Partie 3: Henri Martin, une espèce rare (et donc à protéger ?) : le conseiller départemental d’opposition dans l’Aude…évoque la situation politique actuelle dans l’Aude après les élections départementales…ainsi que quelques grands dossiers dont il a la charge au Grand Narbonne.
Ma.27.3.2024 Dimanche au cinéma (Théâtre+Cinéma Scène nationale Grand Narbonne) « Laissez-moi » de Maxime Rappaz, avec Jeanne Balibar, Thomas Sarbacher, Pierre-Antoine Dubay. Un train au cœur de la […]
Di.25.3.2024 « Les hirondelles buvaient déjà au lavoir et happaient les éphémères, quand ma « compagnie » s’en alla. L’air avait son goût usagé d’après-midi, et la chaleur était grande sous le soleil […]