La branlée du RCNM à Valence fera-t-elle réfléchir les « Socios » et les « autres »…

   

     

« Sucette », le gourou des Socios du RCNM, a beau s’en « beurrer les noisettes », sortir la lame et pointer son équipe en lui retirant son aide financière, témoigne d’un curieux sens de la solidarité envers les dirigeants, les joueurs et les supporteurs d’un club vivant les affres d’une descente historique en Fédérale 1. Et ce, quatre jours seulement avant un déplacement difficile à Valence. Comme le dit la chanson : « ce n’est pas bon pour le moral ». Résultat : 49 points ! Une débandade que Jean Anturville, entraîneur de Narbonne, qualifie de « branlée ». Depuis les cloches sonnent dans les petites chapelles qui entourent le RCNM ; et chacune y va de son credo, on n’y pardonne rien : surtout pas les offenses, réelles ou supposées … Je ne dis évidemment pas que cette décision du patron des « Socios » explique cette lourde défaite. Mais comme ne pas comprendre qu’elle sème le trouble, instille le poison de la discorde. Au service de quoi et de qui ? Elle me rappelle d’ailleurs ce moment tragique dans l’histoire du Club où les « Narbonnais » (les grands sponsors aux moyens cependant faibles) sont sortis financièrement de la Société alors dirigée par les « Australiens » pour en prendre les rênes. On en connaît, et subit, le résultat depuis : pour une reprise gagnante, comme dirait l’autre, on espérait mieux que cette chute verticale, en effet. Mais comment pouvait-il en être autrement dans ce microcosme où chacun se croit investi d’une mission salvatrice, et passe le plus clair de son temps à « tuer » le malade.  Le RCNM aujourd’hui, va mal ! Il  se sait, comme tout organisme vivant, mortel. Personne n’en attend des miracles. Mais ne peut-on espérer de ses « partenaires » un peu de bienveillance ; de laisser aux vestiaires leurs petites vanités et stratégies de pouvoir ; et lui permettre de travailler et jouer enfin avec le sentiment d’avoir tout le « petit monde du rugby » derrière lui. Sans cela, en effet, à quoi bon survivre ?

 

Une prison à Perpignan, mais pas à Narbonne, ni à Lézignan…

 

Illustration / © France 3 LR

     

Fin de l’enfumage médiatico-politique sur l’édification d’une prison dans le Narbonnais d’abord, puis le Lézignanais ensuite. L’État vient de s’engager en effet, par la voix de la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, mardi 9 octobre, pour la construction d’un deuxième établissement pénitentiaire, mais  à… Perpignan.

Le Théâtre+Cinéma du Grand Narbonne et la Tempora du même : une mutualisation impossible ?

 

     

Samedi dernier, nous recevions, Jean-Claude et moi, à Radio Barques, madame  Marion Fouilland-Bousquet, la directrice du Théâtre+Cinéma Scène Nationale, du Grand Narbonne. L’occasion de faire le point sur la situation financière et l’état physique de cet équipement, comme sur la programmation de la saison en cours. L’information à retenir de cet entretien est un retour à l’équilibre comptable et la signature de la convention avec l’État et les autres partenaires du Théâtre : Grand Narbonne, Région et Département, principalement.

Les « Socios du RCNM » renversent les tonneaux : « pas un sou au club » !?

       

« Sucette » et Marco, les deux (!?) présidents des « Socios » du RCNM ne font pas dans la guimauve épistolaire. C’est un véritable glaçon en effet qu’ils viennent d’expédier par courriel à leurs adhérents.

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