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Mercredi, lors de la traditionnelle et très courue séance de l’Assemblée Nationale consacrée aux questions au gouvernement, Alain Perea a expédié un puissant missile en direction des 13 présidents de conseils départementaux (tous socialistes !) désireux d’expérimenter un « revenu de base », présenté par le député de la deuxième circonscription de l’Aude, comme la reprise à peine déguisée du principal thème de campagne de leur candidat à la dernière élection présidentielle, Benoît Hamon.
Samedi, 17h 30, sur le « parvis » de terre battue de l’Aspirateur une foule exceptionnellement nombreuse d’artistes, de collectionneurs, d’hommes et de femmes politiques (de tous bords et statuts) d’amis, d’amateurs d’art en général et de celui de Patrick Chappert-Gaujal en particulier, venue des quatre coins de la région (et de bien plus loin encore), attendait avec impatience la fin du discours de Didier Mouly (heureusement bref !) pour se précipiter dans le ventre de cet équipement d’acier et de béton aux formes étrangement magnifiées par cet évènement, afin d’y découvrir (ou de retrouver) quelques unes de ses emblématiques pièces.
Siège du Grand Narbonne. Illustration : Passelac & Roques Architectes
Finalement, le Grand Narbonne ne quittera pas ses locaux du centre ville. Heureuse nouvelle ! Pour quelles raisons ? Jacques Bascou n’en disant rien, je doute cependant qu’il se soit rendu aux arguments que j’avançais dans un billet du 11 décembre 2017 pour critiquer sa décision d’alors d’en transférer le siège sur le site de l’ex-CCi de Narbonne. Si j’en crois en effet l’article publié dans la presse locale, c’est le président de la Chambre de Commerce de l’Aude, Bernard Ballester, qui serait à l’origine de ce brusque revirement de stratégie immobilière. Mais peu importe, après tout, la sagesse, comme la Providence, façon de parler, prend parfois des chemins détournés pour se manifester par une inspiration qui place certains de nos élus dans des situations contraires à leurs premières intentions.
Ne tournons pas autour du pot, serait-il antique ! Couvrir le « Clos de la Lombarde » pour mettre à l’abri, conserver et présenter au public le seul patrimoine antique visible de Narbonne, relève d’abord de la responsabilité de la Région et de sa présidente madame Delga. Et ce pour une raison simple : la décision prise par George Frêche, alors président de l’ex-Languedoc-Roussillon, de créer un musée régional de la Narbonne antique dans cette ville.
Sur mon fil d’actus Facebook. Lu ce matin cette révélation : nous vivrions dans un « patriarcat acoustique ». Rien que ça. Quinze ans de retard, mais toujours la même ardeur pour débusquer le […]
Le mantra de Gédéon était simple, brutal : « S’il y a des problèmes avec la police, c’est parce qu’il y a des policiers. » Il en avait fait son programme. Un jour, il ferait tomber l’édifice, et son […]
Les vieilles pierres rappellent leur âge. C’est arrivé à Narbonne. Une partie du faux plafond s’est écroulée. C’était dans la piscine du Palais des Sports des Arts et du Travail. Personne […]
Elle est allée dans sa chambre. Elle est revenue. Elle tenait un disque. Marcel Amont. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]