Ça chauffe sur la grille de départ des municipales 2020, à Narbonne !
Le croquis de la semaine de Denis Carrière : À la Saint Servais, ça chauffe sur la grille de départ entre les prétendants assurés, supposés ; et non déclarés…
Le croquis de la semaine de Denis Carrière : À la Saint Servais, ça chauffe sur la grille de départ entre les prétendants assurés, supposés ; et non déclarés…
Décidément, quand la bêtise et l’aveuglement militant s’entrelacent dans une même et constante critique (ce substantif, pour le cas qui nous occupe, n’est pas adapté tant il suppose un minimum de visée argumentative) politique ciblant l’actuel gouvernement et son président, dont cette image et son commentaire en sont l’expression la plus violente, on est droit de se demander s’il est encore possible de raisonnablement en débattre avec leurs propagandistes.
Le croquis de la semaine de Denis Carrière : « Lotissement fantôme d’Armissan : Réunion d’état major à la Mairie. »
Depuis la loi NOTRe du 7 août 2015 (1), l’intervention en matière de « politique locale du commerce et soutien au activités commerciales d’intérêt communautaire » entre dans le groupe de compétences « développement économique » des EPCI (Établissement Public de Coopération Intercommunale). Mais, à la différence des autres compétences, le législateur laisse à ces derniers le choix de définir les actions d’intérêt communautaire ; ce qui nécessitera une délibération du conseil communautaire, à la majorité des deux tiers de ses membres, au plus tard deux ans après l’entrée en vigueur de l’arrêté prononçant le transfert de compétence, soit au 31 décembre 2018. À défaut, l’EPCI exercera l’intégralité de la compétence transférée.
Assis sur les gradins de la piscine du Palais du Travail, je regardais ma petite fille faire des longueurs et des plongées sous la surveillance de son maître-nageur, en compagnie d’une jeune maman de ma connaissance qui surveillait la sienne, nouvelle venue dans ce bassin, inquiète et légèrement anxieuse. Nous bavardions de tout et de rien, quand « tout à trac », elle me demanda ce que je pensais du procédé Thor de l’usine de Malvési, m’informa de sa participation à toutes les manifestations, me fit part de sa peur, pour elle, son mari, son enfant et ses proches d’être les victimes d’un cancer ou de je ne sais plus quelle « grave maladie »… et de sa décision, parce que terriblement angoissée, de vendre sa maison de Narbonne située dans le couloir venteux de la « cheminée mortifère », objet de tous ses cauchemars, dont la construction a été récemment autorisée, après qu’elle eut été validée par des experts sollicités par le préfet sur d’éventuels risques sanitaires, notamment.