Chronique de Narbonne, et d’ailleurs: « Et si le ciel était vide… »

Jeudi, nous étions, Martine et moi, au festival de Carcassonne. Une chanson interprétée par Alain Souchon, m’a touché. C’est le dessin de la semaine:

Chronique de Narbonne, et d’ailleurs. J’étais place de l’hôtel de ville, lundi, à midi…

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Lundi, peu avant midi, place de l’hôtel de ville. Un petit « groupe de personnalités locales et d’élus » se forme devant le grand portail du Palais des Archevêques. Des membres de la police nationale et municipale se dirigent, et se positionnent, de l’autre côté de la portion de Voie Domitienne ouverte au public. Je les rejoins, et me place face   à  l’entrée de l’hôtel de ville. Didier Mouly et Jacques Bascou en sortent. Côte à côte, théâtralement.

Chronique de Narbonne, et d’ailleurs. Croquis de vie, de vie comme on l’aime: libre et fraternelle…

Le croquis de la semaine de Denis Carrière:


   
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Croquis de vie, de la vie, comme on l’aime…

 

Vous pouvez agrandir l’image en cliquant dessus. Tous les croquis et caricatures de Denis sont disponibles en cliquant sur: Denis Carrière, en rouge, en haut et à gauche.

Chronique de Narbonne, et d’ailleurs. Les Estivales 2016: cet art de vivre que l’on voudrait nous interdire…

Photo de "Les Estivales de Narbonne"

Photo de « Les Estivales de Narbonne »


Ne pas écrire un mot. «Prier» en silence. Ne pas en rajouter dans l’insupportable «pathos» qui inonde la presse, les réseaux sociaux, leurs « posts » et commentaires. Garder vivante  à l’esprit cette soirée dernière sur la promenade des Barques.

Chronique de Narbonne, et d’ailleurs. Mon 14 juillet avec Antoine Baeza, ce héros des Glières, de 96 ans, si discret…

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Antoine Baeza. Chez lui!


La première fois que je le vis, ce vieux petit bonhomme, appuyé sur sa canne,  il prenait un pain que lui tendait Adeline, ma boulangère. Quelques mots familiers furent échangés entre eux, à cette occasion, qui signalaient une longue et amicale fréquentation. Ils suffirent pour que je reconnaisse instantanément une langue et un timbre qui longtemps sonnèrent à mes oreilles. Celle de mon grand père paternel, le dimanche, en famille, ou sur des chantiers, l’été, quand j’y travaillais en sa compagnie, manoeuvre d’occasion – pour financer la rentrée scolaire – sous la direction de mon père, alors contremaître.

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