J’ai déjà dit, ici, que chez Adelyne, ma boulangère, on y trouvait les meilleurs pains de Narbonne et des environs, parfois des livres, et des très bons – dernièrement un Antonio Lobo Antunes: Le cul de Judas (Métaillé) -, et toujours des clients devenus depuis ses amis.
Samedi, vernissage de l’exposition de Barthélémy Toguo. Comme toujours dans ce genre de situation où faux-semblants et bavardages envahissent l’espace, il faut éviter les petites mondanités et s’éloigner des buffets. On y parle de tout et de riens qui envahissent l’esprit et éloignent des oeuvres.