Qu’il fasse beau, qu’il fasse laid, c’est mon habitude d’aller sur les cinq heures du soir me promener…

Lu 28.4.2025
Il est 17:10 et c’est mon habitude aussi d’aller me promener en ville …

Lu 28.4.2025
Il est 17:10 et c’est mon habitude aussi d’aller me promener en ville …

Je 17.4.2025
« Ce serait très bien, la littérature, si les lecteurs comprenaient un jour ce que c’est. Pas du tout. Un type qui écrit deux cents pages sur sa veulerie, sa saloperie, sa médiocrité, son néant, allez, on lui file le prix Goncourt. Quel talent ! Le type est content. Le talent sauve tout. D’où cette nuée de terribles, d’imbéciles heureux qui couvrent les catalogues d’éditeurs grâce à la faculté qu’ils ont de dire qu’ils n’ existent pas. Si on savait lire, on serait stupéfait de l’aveu d’imbécillité de la plupart de nos auteurs actuels. Ils crient leur vide et on leur trouve du talent, voire autre chose. Tout ça, parce qu’on ne sait jamais. Si on loupait un Miller, un Genet, un Kafka, vous vous rendez compte! Cette peur fait publier, rend publiable, 80 % de notre littérature actuelle. »
Georges PERROS. Papiers collés 2. Éditions Gallimard. Collection : L’imaginaire. 1973. Page 164

Sa 5.4.2025
« Comment ça va (ou allez-vous) ? ». « Bien et toi (ou vous) » Ces mots, sont toujours les premiers mutuellement prononcés lors de mes premières rencontres quotidiennes. Avec le risque, par habitude, d’en oublier la portée existentielle : la santé est la source de tous les plaisirs. D’en oublier la portée existentielle par habitude, mais sans doute aussi par la peur de la perdre.
Schopenhauer : L’Art d’être heureux. Règle de vie n° 32.

Lu 3.3.2024

Sa 1.3.2025
« Presque rien. Comme une piqûre d’insecte qui vous semble d’abord très légère. Du moins c’est ce que vous vous dites à voix basse pour vous rassurer.