Article 1 : Tout projet de loi présentée à l’Assemblée Nationale est en soi et pour toujours un acte dictatorial. Article 2 : Conséquemment, toute loi adoptée par ladite Assemblée sera considérée comme définitivement inique. Article 3 : Il est donc admis et justifié que toute loi peut (doit) être légitimement contestée et combattue dans la rue, et ce par tous les moyens non autorisés possibles. Article 4 : Les forces de l’ordre mobilisées pour s’opposer aux violences de manifestants progressistes en lutte contre les dites lois sont parfaitement illégitimes – parce que foncièrement fascistes. Article 5 : Le maintien d’une loi justement contestée et combattue dans la rue par d’honorables citoyens, ainsi que l’usage des forces de l’ordre pour qu’elle soit appliquée, sont la preuve que nous vivons en dictature (cf l’article 1). Article 6 : Il s’ensuit que tout individu qui s’aventurait à critiquer les articles ci-dessus exposés fera l’objet de campagnes éthiques de harcèlement, d’injures et d’intimidations sans que leurs auteurs puissent être inquiétés.
Je suis devant le clavier de mon ordinateur et ne sais par quels mots exprimer de sang froid ma colère. Le pays souffre et compte ses morts, victimes innocentes d’un terrorisme aveugle à toute humanité et d’un virus indifférent à toute sociabilité.
On achève et égorge des chrétiens jusque dans nos églises ! Au nom d’un Dieu qui n’est pas le leur ; et le jour anniversaire de son prohète. À Nice. Ce matin. Quelques jours après qu’aux portes d’un autre temple, celui du savoir, un même bourreau ai réalisé son abominable office. Rien ne sera épargné de tout ce qui nous rassemble. Il faudra du courage, encore et encore, pour regarder en face cette ignoble et mortifère idéologie. En désigner les porteurs d’eaux et de glaives. Les affronter. Toujours ! Sans craindre les procès en sorcellerie politique. Sans trembler.
Si j’en crois l’opposition de gauche et de droite, disons de gouvernement, le Président Macron et ses ministres réunis seraient responsables et coupables de la circulation dense et mortelle de la Covid, et non les français qui pourtant seuls le portent, le transmettent ou ne s’en protègent pas.