Photo de Rémi Benoit trouvée sur le mur Facebook de Stéphane Thépot
Cette photo se suffit (presque !) à elle-même. Monsieur Baylet, ce spécialiste des allers-retours entre palais de la République et son siège social du groupe La Dépêche, ne se contente plus d’affirmer qu’il est « la voix des média » (au singulier !) – ce que nous savons pour vivre au quotidien (façon de parler) son contrôle monopolistique de la presse régionale –, mais le voilà qui trompette, à coups de sondages « bidons », de futiles publications et de pétitions citoyennes (sans rire !), sur ses propres titres (et sur ses sites en ligne), afin d’obtenir de l’État qu’il revienne sur sa décision de geler la construction de nouvelles LGV (Bordeaux-Toulouse et Montpellier-Perpignan).
Il y a quand même quelque chose de pervers dans ce monde des médias. Dernier exemple en date de détournement massif de l’information et de sa manipulation, la pseudo « tribune au vitriol du New York Times qui juge Emmanuel Macron comme un président raté » (titre de la Dépêche du Midi).
On l’appellera Madame, on l’appellera Monsieur. Madame était encore il y a peu députée, Monsieur est toujours président d’une honorable association. Sur sa réserve parlementaire, Madame notifia 2000 euros à Monsieur, ce que Monsieur enregistra fort civilement. C’était avant que Madame ne soit renvoyée sèchement dans la vie tout aussi civile de Monsieur.
Madame et Monsieur, donc, samedi dernier, « raoutaient » de concert à l’occasion d’une « heureuse union » (pas la leur, on s’en doute !). Et Madame à Monsieur d’y refuser sa main et d’y tourner son dos.
Monsieur, de cet affront, en rougit encore. Il avait, il est vrai, soutenu un candidat adverse de Madame, quand Madame considérait son appui comme acquis – et payé.
La morale de cette histoire est à la discrétion de chacun.
Je souhaite cependant à Monsieur d’oublier très vite son camouflet. De Madame, en effet, il ne peut plus craindre d’avoir à payer sa liberté de penser.
PS : Toutes ressemblances avec des personnalités connues de cette bonne ville de N… ne sauraient être, évidemment, que le produit de l’imagination de lecteurs, forcément, mal intentionnés.
Longtemps, le RCNM fit la gloire de Narbonne. Jusqu’à briller au Parc des Princes ! Dans les profondeurs de la Pro2 aujourd’hui, il suscite l’opprobre. Et le désespoir autour de l’illustre « tonneau » des Halles.103 points en trois matches encaissés, comment les supporteurs « n’auraient-ils pas la honte ».
C’est une histoire de cul à se taper la tête contre celui des bus. Ceux de l’Agglo ! Le RCNM s’y affiche tout nu. Je veux dire sans le soutien de la Ville de Narbonne et son coeur des possibles. Ce que son maire juge indécent et Nouveau Narbonne obscène.
Déjeuner à l’Auberge des Jacobins. Nous y avons nos habitudes. Vanessa est à l’accueil. André est en cuisine. Ils sont jeunes. Ils sont sympathiques. La cuisine est simple. Les prix sont […]
Hier matin, boulevard Gambetta. M… Avec lui, c’est comme ouvrir une radio. Toujours la même musique : ce qui casse, ce qui brûle, ce qui rate. Le reste, ce qui fonctionne, ce qui tient encore debout, […]
Il était assis là, droit comme il pouvait encore l’être. Une doudoune, un souffle un peu court, les gestes comptés. Sur ses genoux, un petit chien. Léger. Silencieux. Les yeux tournés vers la porte, […]
Je croyais que la culture était un bien commun. Une respiration. Je découvre qu’elle est surtout un territoire. À défendre. À verrouiller. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime […]