Mercredi, en réunion publique, sous la pression, le maire de Perpignan, Jean-Marc Pujol, se lâche: « L’Allemagne a peut-être refusé l’installation des compteurs Linky, mais à côté de ça, ils envoyaient des gens à la chambre à gaz.
Le Foll ne s’intéresse plus à la cueillette des fraises. Son souci : la gauche ne répond plus à l’appel du muezzin élyséen. Hé oh la gauche! se lamente-t-il en compagnie de ministres hollandiens. Pas tous! Un bouquet de Cosse à Baylet, en compagnie de leurs conseillers.
Véritable révolution populaire et démocratique pour les uns, rassemblement de punks à chiens et de joueurs de djembé en mal de 8-6 pour les autres, l’événement fait parler de lui un peu partout, et prolifère chaque semaine un peu plus. Que l’on soit d’accord ou non avec les idées et méthodes de la foule, n’en reste pas moins cette grande question : la Nuit Debout en son état actuel peut-elle changer l’humble royaume de France, voire au passage, le monde ?
Je croyais Jean Louis Debré président du Conseil Constitutionnel, il n’en était que le concierge. Je le pensais gardien de notre Constitution, il faisait les poubelles de la Vème. Je le savais auteur de polars, il voudrait faire l’acteur. Son prédécesseur collectionnait des godasses, il expose des « dessous ».