Petite parodie matinale. Chacun peut augmenter ce texte du poids de son imagination; et l’adresser à son élu, forcément de proximité. « C’est vrai que la matière sociale et politique aujourd’hui est déterminée par deux axes majeurs qui ne manquent pas de nous interpeller quelque part. Je veux dire, effectivement, que l’ouverture à gauche et la fermeture à droite posent le problème d’un positionnement politique pertinent pour une gauche ( ou une droite ) moderne qui resterait ferme sur ses fondamentaux… Cette problématique équation est à l’évidence la question déterminante pour sortir d’un questionnement où le désir d’avenir serait occulté par le désir d’en découdre. Contourner cet incontournable interrogation est donc une nécessité absolue. De sorte que, la courbe du chômage s’obstinant à ne point se redresser, la question existentielle de sa nécessité ne se pose plus. Il est donc clair, qu’en toute transparence, la question de savoir si je suis en capacité, peut-être, de candidater lors de prochaines échéances électorales, n’a pas de sens. Etc, etc… »
Certains des membres du comité directeur de la SNN, sont gens d’une élégance de pensée et d’action à rendre jaloux le plus illustre de nos « beaufs ». L’indépassable, l’unique, celui seul qui fut jadis croqué par notre génial chroniqueur de la bêtise contemporaine, Cabu. Cabu, notre frère en dénonciation des passions les plus malsaines: l’envie, la rancune, le ressentiment… Toujours motivés par le désir d’en découdre et d’en finir avec ce Pavillon qui les empêche de nautiquer en rond, déterminés à lui faire rendre gorge, leur parking de six places enfin réalisées devant ses tables pour ôter à ses clients toute vue sur les vieux gréements et l’étang de la Nautique, « certains » membres du comité directeur de la SNN, donc, y garent désormais ostensiblement, leurs véhicules. Et ce, comme en témoigne, si j’en crois cette photo prise hier par un témoin digne de foi, alors que le parking historique, si je puis dire, est totalement et absurdement … vide! Il est vrai, cependant, à la décharge de nos « gentils » provocateurs, qu’il faut rentabiliser cet investissement bituminé, n’est-ce pas? Quelle classe !…
PS: faut-il que je précise encore une fois que je ne me fais l’avocat de personne. C’est la méthode et les arguments jusqu’ici avancés que je critique. Quand des « pièces à conviction », juridiques notamment, seront avancées, elles seront ici exposées, comme il se doit…
Lilian Sanchez propose des services innovants dans un secteur où la seule issue du client est le cimetière. Dans une boîte ou une urne! Il paraît que les familles recherchent désormais une certaine personnalisation des cérémonies, des monuments, des plaques et des hommages. Aujourd’hui, ce jeune créateur plein d’imagination, propose une personnalisation des cercueils d’inhumation et de crémation, notamment. Avec son épouse Bérangère, deux décors exclusifs représentant « Couiza Haute Vallée » et « Limoux, avec sa vigne et son carnaval », sont déjà dans leur catalogue. Dans l’article qui fait état de cette remarquable initiative entrepeunariale, il n’est cependant pas précisé si le sponsoring des modèles de cercueils offerts à la vue des lecteurs de l’Indépendant était assuré par le Comité Départemental du Tourisme de l’Aude sous la marque « Pays Cathare » … Je brûle de le savoir!
Photo/Cathy Mercier-Esquirol. Dans l’Indépendant, en lien ci-dessus.
Eh bien, c’est fait. Je croyais qu’un armistice avait été « signé », que le seul montant du loyer versé par le gérant du resto « Le Pavillon » était contesté; que des discussions – que je ne connais pas , encore! -, ou des promesses de discussions, étaient, ou allaient être ouvertes avec l’intéressé; que Didier Mouly s’inquiétait de cette « clochemerlienne » situation; que son souci, de maire et de concédant, de défendre et de créer de l’emploi « marchands » – 6 sont concernés -, de promouvoir ce site aussi, l’avait emporté sur des passions privées d’un autre âge; qu’avaient cessé de circuler d’étranges et inquiétants propos anonymes sur ma personne, comme d’insistantes rumeurs sur de prétendues malversations juridiques et financières; que leurs courageux colporteurs avaient des éléments de preuves à l’appui de leurs « dires »; qu’ils les communiqueraient publiquement et engageraient des poursuites judiciaires contre les anciens dirigeants de la SNN et le « Pavillon »; que et que et que…
Je m’en voudrais de taxer la modernité triomphante de radotage, mais il faut bien admettre qu’il est des mots et des concepts auxquels il devient de plus en plus difficile d’échapper. Essayez de visiter la moindre exposition artistique sans qu’il soit question « d’explorer un univers de rupture » à travers « une approche inédite » qui nous invite à « repenser notre rapport au temps et à l’espace ». Essayez d’assister au moindre festival théâtral sans que ce soit « jubilatoire », « revisité » ou « décalé ». Essayez de participer au moindre événement sans que ce soit une manière « ludique, festive et éphémère » de « vivre autrement ». Essayez de lire la moindre affiche ou le moindre prospectus municipal sans être interpelé sur votre degré d’écologitude.