Contre-Regards

par Michel SANTO

Grattez un « Vert », et vous trouverez toujours sous sa bucolique rhétorique un matraquage fiscal, ou tarifaire…

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Cet élu « Vert » héraultais de la majorité régionale constituée par Carole Delga, Christian Dupraz, à raison :  il est plus responsable, d’un point de vue écologique, de rester chez soi, à Perpignan, à  glander sur son canapé, que d’aller bosser à Narbonne, Béziers ou Montpellier, en prenant le TER. 

Ne plus vouloir porter la forme entière de l’humaine condition…

       

Si j’en crois Montaigne, chaque homme porte la forme entière de l’humaine condition. Ainsi la rédaction de ce billet me ferait connaître les mêmes angoisses qu’un Guillaume Musso et m’instruirait sur la création littéraire, quand le ramassage quotidien de canettes de bière ou de coca devant ma porte m’informe lui, sans aucun doute, sur les sentiments éprouvés par les employés du service propreté de la Ville à l’égard de leurs concitoyens –  le con donnant sa vérité à ce vocable sans substance ;

Histoire de Géo : Madame Delga et monsieur Saurel « se chauffent » sur les ondes…

   

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En pleine semaine d’un mois d’août caniculaire, madame Delga et monsieur Saurel se chauffaient sur les ondes, tandis que le pékin moyen, résident permanent ou pas de cette région au nom exotique, faisait trempette dans ses eaux ou vivait planqué comme une taupe. L’objet de cette estivale algarade ?

Il faut avoir lu beaucoup de livres pour savoir ceux qui en valent la peine…

   

     

C’est le rituel de tous mes matins, avant toutes choses et parfois même avant ma première tasse de café : prendre un ou deux livres du « premier rayon » de ma bibliothèque et lire au hasard quelques pages. De Valéry Larbaud, je suis ainsi allé jusqu’au terme de la première histoire de ses « Enfantines » : Rose Lourdin. Une prose simple, légère, limpide, émouvante… Du grand art !

Café du matin, place de l’hôtel de ville…

   
« Je ne fumerais pas, je ne lirais pas ni n’écrirais, j’attendrais. Ou je me réciterais du Laforgue, en cédant sans scrupule à ce penchant qui exige qu’en toutes choses, je mêle des bribes de littérature, comme on met du sucre dans son café. »
 

Jean-Claude Pirotte, Brouillard

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