Ce jeune homme est décidément insupportable. On l’attendait sur un plateau de télévision pour y déclarer sa candidature à l’élection présidentielle de 2017, il l’a fait dans un C.F.A de la Seine-Saint-Denis. L’image de journalistes au milieu de « bleus » de travail reniflant des odeurs d’huiles de vidange était du plus bel effet. Depuis, on assiste à un concert quasi unanime de critiques d’une violence inouïe : Brutus, traître, pour tous les tartuffes qui, à gauche, font des procès en traîtrise à François Hollande depuis le début de son quinquennat ; escroc, pour des philosophes « engagés » qui longtemps furent les propagandistes zélés d’un communisme à la mode « Mao » ;
Hier, dans l’édition narbonnaise du Midi Libre, c’était J.P Juan qui se « fendait » d’un édito : « Les bons comptes » pour contester le nombre de signataires d’une pétition (sur Internet et « papier ») lancée par l’association « Touche pas à mon Parc ».
Quiconque entre dans Narbonne par l’avenue Hubert Mouly aura remarqué l’avènement de deux programmes urbains physiquement tout proches -mais politiquement antagonistes. Tout d’abord la Salle Multimodale qui, quoiqu’encore invisible, a déjà son panneau ainsi qu’une date d’inauguration, le 18 décembre 2018 (c’est aussi mon anniversaire mais les faits ne sont pas liés). Si elle est réalisée, cette salle sera une réussite incontestable de l’actuelle équipe municipale, non pas en terme d’intelligence du programme, mais de pugnacité politique.
La « Une » de couverture et deux pages sur les politiques de sauvegarde et de promotion des centres-villes dotés d’un patrimoine historique remarquable, dans l’Indépendant du jour. Le prétexte : la biennale du patrimoine urbain mercredi dernier, à Carcassonne , avec au programme « la reconquête des centralités ».