Stéphan Rossignol avait des airs de blanche colombe quand il a salué de ses trilles Nicolas Sarkozy, lors d’un rassemblement à Nîmes, le 20 janvier. Cela faisait près d’une heure qu’il faisait le pied de grue. Comme un oiseau sur la plus haute branche, il chantait tout le mal qu’il pensait des corbeaux de sa fédération de l’Hérault. De ces Julien et Aboud, qui lui tiraient dessus pour l’empêcher de voler de ses propres ailes, de se présenter aux élections internes de « Les Républicains », d’y prendre la présidence et d’y nicher enfin avec ses amis de la même lignée.
À lire et/ ou entendre les propos tenus par les « leaders » de gauche et de droite du Languedoc-Roussillon durant cette pré-campagne des régionales, on ne peut pas ne pas être « frappé » par une convergence surprenante, avec des nuances certes, sur le thème « Montpellier va se faire dépouiller par Toulouse ». J’insiste: Montpellier seulement. Comme si l’élargissement des frontières administratives à Midi-Pyrénées et la désignation de Toulouse comme capitale de la future grande région, en « déclassant » administrativement Montpellier, allait entraîner les autres composantes territoriales, hors la métropole montpelliéraine dans le déclin. ( voir aussi mon billet du 1/08/2015 : ici )
Je 7.11.2024 Galley au café. C’est une habitude. Devant mon premier café, je lis une ou deux pages d’un Journal littéraire. J’ai donc ouvert ce matin celui de Matthieu Galey. Pourquoi ? Parce que je […]