Hier soir, je commençais l’écriture d’un billet par cette phrase : « J’apprends, ce jour, qu’à Paris, le colonel Beltrame a désormais son jardin et qu’il n’était pas mort en héros, le 23 mars 2018, à Trèbes, mais en victime de son héroïsme, comme le précise insensément la plaque érigée en sa mémoire le 26 février 2020. » ; et me suis arrêté net, le point final posé.
Le courage et le sacrifice du lieutenant-colonel Arnaud Beltrame nous obligent. Et la question se pose de savoir si nous en seront dignes, si nous seront capables de nous placer à sa hauteur d’âme et de conscience.
Depuis que ce matin j’ai appris l’héroïque mort de ce soldat entré dans ma vie par le sacrifice de la sienne, son visage me hante. Voilà un homme au regard fier et lumineux qui sans hésitation a offert sa vie à un tueur aux yeux de plomb pour en sauver une autre dont il ignorait jusqu’alors l’existence.
Me 12.2.2025 Calendrier. FÉVRIER Cette année encore on dira qu’on n’a pas eu d’hiver. Dans l’air humide et mou, sous un ciel à moitié couvert, Les bourgeons des lilas déjà […]
Je 6.2.2025 Concordance des temps ! Un mois encore sans verres adaptés à la vue de près. La conséquence est qu’il me faut des lunettes loupes pour lire et écrire ; ce qui me fatigue. Je me contente […]