Les quelques réflexions qui suivent, pour apporter quelques éléments de réponses aux commentaires qui, hier et aujourd’hui encore, ont suivi la publication, et la mise en ligne sur les réseaux sociaux, de mon dernier billet d’humeur consacré aux médiocres performances sportives RCNM, qui l’amènent, naturellement, à occuper la dernière place de la PRo2. Avec la menace, désormais bien réelle, d’une « descente » en Fédérale.
Le club étant une « entreprise » d’une cinquante de salariés, me dit-on, on comprend bien, sans qu’il me soit nécessaire d’en exposer les considérants, que sa situation actuelle, si elle devait perdurer, ne manquerait pas d’avoir de sérieuses conséquences, à la baisse, évidemment, sur ses effectifs. Sa survie même, dans sa forme actuelle, pourrait être en jeu …
Créée en 1981, l’UNAMECOGERA est une singulière association. Sans président durant 19 ans, ni bureau, ni conseil d’administration, cet organisme à l’acronyme exotique aurait perçu des subventions du Conseil général pour financer des retraites complémentaires. Sauf que depuis la promulgation de la loi sur le statut des élus en juillet 1992, ce genre de procédé est illégal.
La petite révolution institutionnelle envisagée pour 2015 autour de la naissance d’une grande Région Languedocrassemblant Perpignan, Toulouse et Montpellier, aura de multiples conséquences annexes. Parmi ces effets, les Chambres de Commerce vont évoluer d’une formule actuelle à neuf entités, à seulement trois, selon la volonté de leurs présidents. « Trois chambres fusionneraient avec celle de Montpellier, trois autres avec celle de Perpignan », d’après l’édition du magazine économique La Lettre M, en date de ce mardi 8 octobre.
Après la confirmation par F.Hollande de vouloir mener à bien la réforme en profondeur de notre mille-feuilles administratif en divisant par deux le nombre des régions , supprimant les départements et réformant – pour accroitre leur lisibilité, leurs compétences et leurs assises démocratique – les intercommunalités, C.Bourquin se fend d’un communiqué orwelien – fichier joint – dans lequel il s’en félicite , tout en n’en disant rien qui puisse contredire son apologie de l’existant promu en modèle de la réforme annoncée ; un modèle de langue de bois politicienne à étudier dans toutes les officines de com. Faut dire que la sienne est gratinée ! Une confirmation que les présidents et élus des régions et des départements , pour beaucoup et de gauche et de droite, vont tout faire pour résister à ce nécessaire bouleversement institutionnel. En Languedoc Roussillon, nous n’avons donc rien à attendre d’eux pour aller de l’avant et le temps est donc venu , pour les inter-communalités – seules à même de pouvoir s’exprimer, parce qu’elles y ont un intérêt évident – de s’exprimer sur la grande région qui aurait leur préférence. Dans notre environnement immédiat, je verrais bien celles de Perpignan, de la Narbonnaise et du Carcassonnais se prononcer pour une fusion de Midi-Pyrénées et du Languedoc-Roussillon – en laissant le Gard à Provence-Alpes-Côte d’Azur, pourquoi pas ?Allez Messieurs, courage ! on suivra ! …
Le Monde: Le secrétaire d’Etat à la réforme territoriale, André Vallini, estime, vendredi 9 mai dans un entretien au Figaro, que la réforme territoriale permettrait un gain « …
C’est Laurent Rouquette qui, dans l’Indépendant de ce jour, lève , non un lièvre mais un sacré rond-point. Celui de Trèbes, aux portes de Carcassonne ! qui, en effet, mérite le déplacement . On y tourne certes, mais en rond. Il ne mène nulle part. Un rond point cul de sac , en quelque sorte. La zone d’activités de la Région qu’il est censé desservir n’existe pas… Un aménagement démentiel sorti de cerveaux délirants. Des « tonnes » d’incompétence, d’irresponsabilité et d’euros coulés par l’Agglomération, la Région et le Conseil Général, tous trois associés dans ce naufrage en béton aux pieds de la Cité . 3 Millions d’Euros pour un rond point sans origine ni destination connues, comme une autoroute sicilienne ouverte sur le vide après que les caisses de ses maîtres d’oeuvre aient été remplies . Une opération à inscrire d’urgence au patrimoine mondial de la « gabegie universelle »; et leurs commanditaires au top 50 des élus les plus incompétents de la planète.