Mercredi matin, les murs et les piliers des Halles ont soudainement tremblés : une fanfare bavaroise y faisait son entrée, plein cuivres et au pas cadencé. Martiale et le souffle puissant, d’un coup, des odeurs de bière et de choucroute imaginaires ont envahi l’espace de ce temple marchand où se vendent habituellement des salades, notamment, se vident des verres, beaucoup ; et où naissent, souvent, de perfides rumeurs ovaliennes et politiques.
Radical changement de cap à la Société nautique de Narbonne ! La dynastie Déjean ayant repris la barre du petit port de la Nautique, son comité directeur a décidé de ne pas organiser les championnats de France d’Extrême glisse de windsurf, à la fin du mois d’août, et ce pour la troisième année consécutive. Trop de monde, trop de jeunes, trop de tout dans ce petit monde protégé où ne sont tolérés, par une majorité de nauticards semble-t-il, que les effluves de grillades et les jurons de pétanqueurs; et encore… Peut-être y verrons-nous, un jour prochain, l’apparition de jardinières de pétunias et de nains de jardin. L’annulation de cet évènement, dans ces conditions en tout cas, est tout à fait symptomatique de la « culture » dominante dans notre petite cité. Auto-centrée, jalouse des « autres »… Conservatrice, pour l’essentiel, elle reste fermée, malgré quelques petites concessions, à la « prise de risques ». Pour tout dire, elle est l’expression d’une petite-bourgeoisie provinciale satisfaite d’elle-même et qui , par dessus tout, ne supporte pas le « dérangement ». L’entre-soi comme planche de salut dans un monde ouvert à tous les vents… Suicidaire. De l’air, et au large, bon sang!
Dans cette troisième partie, notre invité était Thierry Gomar, professeur de musique au conservatoire du Grand Narbonne, percussionniste de renommée internationale.
Sociologue, fondateur du club Politique autrement, Jean-Pierre Le Goff a analysé dans de nombreux essais – La Démocratie post-totalitaire, La France morcelée ou le récent La Fin du village – les mutations à l’œuvre dans le pays. Il revient sur les récents événements ayant endeuillé la France.
Nos politiques invoquent la laïcité, la République, le «vivre-ensemble». Ne faudrait-il pas définir ce que l’on met derrière ces mots. Quelles sont nos valeurs ? Sur quoi se fonde notre identité ?
Ce soir, nous fêterons, L’Épiphanie et partagerons la galette des Rois. Elle a lieu effectivement le 6 janvier, mais dans les pays, comme le notre, où l’Épiphanie n’est pas un jour férié, elle peut se fêter également le premier dimanche qui suit le 1er janvier. Ce jour-là est traditionnellement partagé un gâteau contenant une fève qui rend «roi» quiconque la trouve dans sa part de galette. Par sa forme ronde et sa couleur dorée, la galette symbolise le soleil. À l’origine, en effet, L’Épiphanie fait partie du cycle de Noël et tire son fond et son sens des célébrations païennes de la Lumière. Noël, avant d’être un jour, est d’abord un cycle qui atteint son apogée au jour marquant le solstice d’hiver, le 22 décembre.
Ma.16.8.2022 Moments de vie. Ce soir-là, il était 19 heures, environ. Nous étions seuls, assis côte à côte, sur une plage enfin déserte. La mer s’étendait au loin, immense […]
Sa.13.8.2022 Moments de vie. Je me suis levé avec « la tête lourde. » Je la garde en général toute la journée. Dire que j’en souffre serait exagéré. Je n’en ressens pas les […]
[…] « Il y aura toujours un couple frémissant Pour qui ce matin-là sera l’aube première Il y aura toujours l’eau le vent la lumière Rien ne passe après tout si ce n’est le […]
Moments de vie. Di.7.8.2022 « En été, je ne quitte jamais Gruissan ! Avaler des kilomètres de bitume, fondre dans des bouchons, râler après mon GPS qui n’en fait qu’à sa tête et de mon […]
Ma.2.8.2022. La vie m’a finalement appris que l’on perd inutilement son temps à entrer dans un débat avec un interlocuteur borné de certitudes. Ses plus intimes sentiments et convictions, […]