Stupéfait, abasourdi par cette manchette de l’Indépendant, hier:
« Mis en cause »! Comme si Rocky Elsom accusait André Maratuech de quoi que ce soit. Alors qu’il se contentait, dans son communiqué, de rappeler les « engagements » de ce dernier sur le budget « sponsoring » , tout en précisant qu’il avait, de son côté, comme convenu, engagé (1) le propre fils de monsieur Ysern… Monsieur Ysern qui , par retour, et de revers, si je puis dire, pour lui montrer toute sa gratitude, lui envoie, avant Noël, de faux qataris, mais de vrais investisseurs domiciliés sur l’île de Man, pour lui acheter un club dont il n’est pas vendeur. Et comme si tout cela n’était pas suffisant pour démontrer la « loyauté » de la partie « narbonnaise, voilà qui nous était donné à lire, hier, pour en accréditer le bien fondé, l’élégance et toute sa beauté, ceci:
À la lecture de l’Indépendant du 29 novembre, et de l’article, encore un, consacré à la tentative de rachat du RCNM par un pseudo fonds qatari, mon sang n’a fait qu’un tour; et me suis précipité sur mon clavier pour l’exprimer en quelques mots. D’abord pour dire stop! à la désinformation sur le fonds d’investissement en question. Dans un billet consacré à cette affaire,j’ai déjà eu l’occasion d’apporter des informations utiles à la connaissance, ainsi qu’à la domiciliation de ces investisseurs, pour m’étonner qu’elles n’aient pas encore été portées à celle du plus grand nombre des narbonnais intéressés par la vie et l’avenir du RCNM.
Ce matin, jour de marché, c’est aux Halles que j’ai pris mon café. Chez Belzons! J’ouvre l’Indépendant, et vois un article pleine page illustré d’une photo de la première ligne municipale. Enfin presque! Manquait Delpoux, l’expert. Le sujet? l’avenir du RCNM. Juste après que Rocky Elsom, la veille, ait envoyé dans les « 10 mètres » notre équipe du Palais.
Déjeuner à l’Auberge des Jacobins. Nous y avons nos habitudes. Vanessa est à l’accueil. André est en cuisine. Ils sont jeunes. Ils sont sympathiques. La cuisine est simple. Les prix sont […]
Hier matin, boulevard Gambetta. M… Avec lui, c’est comme ouvrir une radio. Toujours la même musique : ce qui casse, ce qui brûle, ce qui rate. Le reste, ce qui fonctionne, ce qui tient encore debout, […]
Il était assis là, droit comme il pouvait encore l’être. Une doudoune, un souffle un peu court, les gestes comptés. Sur ses genoux, un petit chien. Léger. Silencieux. Les yeux tournés vers la porte, […]
Je croyais que la culture était un bien commun. Une respiration. Je découvre qu’elle est surtout un territoire. À défendre. À verrouiller. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime […]