Articles marqués avec ‘Georges Frêche’

La gare TGV de Montpellier-Mogère, une imposture politique et financière ! | Contre-Regard.com

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Toute la Frêchie doit avoir mal au crâne depuis l’annonce, cette semaine, par Carole Delga de la suspension de ses paiements à la société gestionnaire du partenariat public-privé de la nouvelle gare TGV de Montpellier. Une gare depuis longtemps (1999 !) réclamée par Georges Frêche. Située dans le  nouveau quartier d’affaires d’Odysseum, son coût s’élève à 135 millions d’euros : 45 millions pour l’État, 45 pour SNCF Réseaux, 45 pour les collectivités territoriales ( Région, 32,175M€ ; Montpellier Agglomération, 11,825M€ et Nîmes Métropole, 1M€).

Région Occitanie : questions autour d’une « commande publique » et de communicants, notamment | Contre-Regard.com

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Dans un article du 17 octobre publié par Midi-Pyrénées-Politiques-France 3, Laurent Dubois fait état d’une affaire qui « agite les couloirs de l’Hôtel de Région et même la majorité régionale. » Une des entreprises  de communication sélectionnée par la Région –  Wonderful ne serait autre que celle qui employait jadis l’actuel directeur de cabinet de Carole Delga, Laurent Blondiau.

54 portraits d’hommes et de femmes de pouvoir en Occitanie, par Jacques Molénat | Contre-Regard.com

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Jacques Molénat présentera et dédicacera ce vendredi soir (30 septembre), à 18 heures 30, dans les locaux de « J’aime Narbonne », 18 avenue Pierre Sémard son livre : « Notables, trublions et filous ». Une galerie de 54 portraits, dans laquelle l’auteur nous révèle les motivations les plus profondes de ces hommes et de ces femmes de pouvoir – quatre femmes seulement ! –, qui ont fait la région.

Rectifions et précisons: qui ont géré et gèrent encore, pour le meilleur ou pour le pire, des collectivités territoriales qui font le paysage institutionnel de la Région. Les chefs d’entreprises, à l’exception de quelques rares figures proches de ces milieux, ne figurent en effet  pas dans cette piquante galerie de notables, de trublions et de filous. Un distinguo en réalité jamais fait par l’auteur, la friponnerie et la provocation étant des qualités propres à tout bon notable installé… soucieux de le rester.

Itou de la bipolarisation Droite Gauche, que Jacques Molénat fait voler en éclat en dévoilant tout ce que l’idéologie masque de susceptibilités, haines recuites, confrontations d’ambitions, et querelles de clans dans le quotidien de ces hommes et de ces femmes. On se déteste plus entre camarades qu’entre concurrents politiques. Comme le remarque justement Jean François Kahn dans sa préface: « Georges Frêche détestait moins son concurrent de droite, Willy Diméglio, qu’il n’exécrait le président socialiste du conseil général de l’Hérault, Gérard Saumade ou que ne l’insupportait celle, également socialiste, qu’il avait mise en place à la mairie de Montpellier et qui eut le front de le défier : Hélène Mandroux. Georges Frêche lui-même était, sans doute, moins haï à droite que ne le fut le député UMP villepiniste (aujourd’hui sénateur) Jean-Pierre Grand.« 

Chronique de Narbonne, et d’ailleurs. Loi El Khomri: la « tartufferie » politicienne de nos deux députés…

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Disons le tout de suite : je considère que le projet de loi El Khomri, même dans sa version remaniée après des négociations menées par le Premier ministre avec la CFDT et l’UNSA , notamment, va dans le « bon sens ». Disons aussi que, face au blocage de la gauche de la gauche et des frondeurs du PS – archi minoritaire au groupe socialiste de l’Assemblée, mais décidés à tout faire pour dissuader François Hollande de se représenter en 2017 – et au vote contre annoncé de la droite et du centre déjà engagés dans le combat des présidentielles, Hollande et Valls n’avaient pas d’autre choix que de recourir au 49.3.

Chronique de Narbonne et d’ailleurs: des statues et des hommes…

HUBERT MOULY MAIRE NARBONNE

Je n’ai rien contre l’art statuaire en général, mais je dois néanmoins confesser une profonde et définitive  allergie à ces bronzes en pieds de personnages publics coulés et érigés aujourd’hui dans nos cités au lendemain de leur mort. Je croyais cette forme de glorification et d’édification des «peuples» définitivement abandonnée, et la voilà qui paradoxalement ressurgit dans nos petites villes de province. En l’occurence la mienne. Les amis et les proches de Georges Frêche furent les premiers à inaugurer cette forme régionale d’idolâtrie politique qui, comme dans tous les cultes, élève le défunt au rang d’oeuvre d’art traversant les siècles. À Montpellier, on distribue même, chaque année anniversaire, un prix à l’effigie de celui qui ne fut pourtant que le maire de Montpellier et le Président d’un Conseil Régional.  Toute une tradition politique fondée sur la seule autorité d’un homme, dont les prosélytes invoquent régulièrement la puissance quasi divinatoire de son esprit et de son action.

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