Le précédent gouvernement avait prévu la suppression des conseils départementaux mais, pour des raisons bassement politiciennes – ne pas perdre les voix radicales (celles du parti de monsieur Baylet) : qu’il a perdues un peu plus tard et qui, lors de la présidentielle, s’en sont allées chez Macron – avait abandonné cet élément clef de sa réforme territoriale. Le résultat de cette reculade est que cette réforme présentée malgré tout comme de portée structurelle – son objectif était de rendre moins opaque, moins coûteux et moins lourd l’ensemble constitué par les quatre niveaux de collectivités locales propres à notre pays, n’a, dans la pratique, fait que renforcer les dysfonctionnements constatés dans le passé – chevauchements de compétences, financements croisés, etc.
Monsieur Méric préside le Conseil Départemental de la Haute Garonne. Il est socialiste… et républicain. La preuve ? Il fait de son institution et de son « hôtel » , en ce jour de fête nationale, un restaurant ouvert à ses habitants. Boissons et repas sont offerts , évidemment !
Dans un récent billet, je montrais tout ce que la réforme territoriale devait à monsieur Baylet : maintien des départements et confusion juridique dans la répartition des compétences et les financements croisés entre collectivités. Ces derniers notamment, dont la limitation à certaines actions est en passe de se transformer en pratique courante, comme elle l’était avant le vote de la loi NOTRe.
Déjeuner à l’Auberge des Jacobins. Nous y avons nos habitudes. Vanessa est à l’accueil. André est en cuisine. Ils sont jeunes. Ils sont sympathiques. La cuisine est simple. Les prix sont […]
Hier matin, boulevard Gambetta. M… Avec lui, c’est comme ouvrir une radio. Toujours la même musique : ce qui casse, ce qui brûle, ce qui rate. Le reste, ce qui fonctionne, ce qui tient encore debout, […]
Il était assis là, droit comme il pouvait encore l’être. Une doudoune, un souffle un peu court, les gestes comptés. Sur ses genoux, un petit chien. Léger. Silencieux. Les yeux tournés vers la porte, […]
Je croyais que la culture était un bien commun. Une respiration. Je découvre qu’elle est surtout un territoire. À défendre. À verrouiller. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime […]