Après notre émission, la semaine dernière, avec les responsables de J’aime Narbonne, petite mise au point à propos d’une association politique concurrente par Jean Claude Julès. Partie 1. Serge Brunel, directeur du Grand Narbonne, s’en va à Carcassonne. Le Guen sonne le glas d’Alary.
He bien voilà, c’est fait! Le Guen vient de sonner le glas de la loi dite Alary. En réponse à la député LR de Midi Pyrénées Laurence Arribagué , qui l’interrogeait, mercredi 16 septembre, dans le cadre des questions au gouvernement, sur l’opportunité d’une loi afin de consacrer la fonction de présidence déléguée dans les futurs conseils régionaux, une fonction dotée de « vrais pouvoirs », voulue , exigée par Damien Alary, la réponse du ministre en charge des relations avec le Parlement (voir la vidéo en lien à 1h sur le curseur) est tombée. Cafouillante, mais nette : « une loi n’est pas nécessaire »! « Chacun fera comme il entend ». Et de prendre l’exemple du Département de la Côte d’Or où son Président monsieur Sauvadet l’aurait instaurée, cette présidence déléguée. Curieux, je suis allé sur le site de ce Département, et ne l’ai pas trouvée… Et si elle existe, elle ne peut être, de toute les façons, que symbolique et d’apparence. Et, dans les faits et en droit, de rang inférieure aux fonctions et aux pouvoirs d’un premier vice-président. Ou vice-présidente, comme envisagé dans l’accord électoral PS/PRG dans la grande région Midi-Pyrénées-Languedoc-Roussillon. C’est madame Sylvia Pinel qui doit bien se marrer! C’est donc à un pathétique rétropédalage que l’on va assister, gouvernement et premier ministre compris. Quant à Damien Alary, qui conditionnait son quatrième rang dans l’accord passé entre Cambadélis et Baylet au vote de cette loi,il devra se plier ou partir…