La solitude profonde du chef de l’Etat…
Dans Marianne, Régis Debray, avec son optimisme habituel, et à propos de la « présidence » Hollande, se demande s’il faut en rire ou en pleurer. Pire me semble-t-il est l’indifférence bouffie de ressentiment et de colère envers le chef de l’État jusque dans les rangs de ses derniers fidèles: les 3% dont font état les sondages.





