Valérie Trierwieler a raison, on n’attend pas d’un Président qu’il soit sympathique et populaire. Il ne peut jamais l’être, surtout dans des situations économiques et sociales comme celles que nous connaissons. il ne peut et , de plus, ne doit jamais l’être , les promesses pour lesquelles les électeurs l’ont choisi étant pour la plupart irréalisables.
Impeccable analyse de Laurent de Boissieu présentée dans son blog iPolitiquesous le titre: « Clarification politique? » (31 août 2014). Reproduite ici in-extenso, les lecteurs decontre-regard.com ne seront pas surpris de constater une évidente convergence d’arguments avec ceux développés dans mes billets des derniers jours consacrés au même sujet.
Sous l’écume des feuilletonesques « affaires », de la Crimée et des pseudos mesures de « rétorsions » de l’U.E et de la disparition plus ou moins rocambolesque d’un avion malaisien, se prépare une accélération sans précédent du virage social démocrate de ce gouvernement. Il faudra attendre le passage des élections municipales et européennes, qui auront ce grand mérite de purger cette première partie du quinquennat, pour que les grandes annonces soient faites, mais elles se feront.