Les électeurs de la primaire de la B.A.P (!) du département de l’Aude – le mien – ont choisi majoritairement Manuel Valls. Avec les Pyrénées-Orientales voisines, tous deux s’illustrent, pour, en France Métropolitaine, avoir pris seuls cette option plutôt orientée à droite de la Gauche.
Dès demain, la dynamique de la campagne présidentielle va prendre un nouveau tour. Benoît Hamon devra d’abord rassembler ce qui ne peut pas l’être, ou de façon formelle. Les soutiens de Valls, et lui-même le premier, ne feront évidemment pas campagne pour Hamon. Le clivage politique et idéologique est trop profond. Les frondeurs, minoritaires à l’Assemblée, voulaient cette primaire pour abattre Hollande et Valls. C’est fait !
Hier, dans « C dans l’air », le député socialiste René Dosière, invité à donner son point de vue sur le métier de Pénélope et son exercice réel, a tenu des propos, comme à son habitude, sensés.
Nous sommespresque à mi-mandat, et déjà le temps nous semble désespérément long. Intellectuellement et politiquement difficile à vivre, à supporter tant la gestion de cette Ville, dans ses rapports, nécessaires, avec l’Agglo du grand Narbonne est d’une médiocrité proprement stupéfiante. Je pensais, naïvement, qu’après le temps du deuil de la perte de la Ville par la Gauche et celui de l’Agglo par la droite Moulyste, la raison, et l’intérêt général de la seule partie qui compte, c’est-à-dire la communauté narbonnaise, prévaudrait sur tout le reste.
Pour ne pas lui causer d’ennuis, je la nomme ici Mary Poppins. Je sais qu’elle ne m’en voudra pas. Elle préside, réellement, un petit club sportif dans un discret patelin audois. Ses membres n’encombrent guère des vestiaires, qui d’ailleurs n’existent pas. Inutiles ! On chausse ses baskets à la maison. Onva bien à la messe avec, non ?