Un crime symbolique.

Château de Peyrepertuse. C’était un après midi d’un mois d’août particulièrement venteux. La plage de Gruissan était presque déserte. À l’exception de deux couples qui s’occupaient à construire un château de sable. L’ouvrage achevé, une gamine se mit à sauter par-dessus tours, tourelles et murailles en criant « j’ai mon château cathare, j’ai mon…, j’ai mon… ».

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