Un moment d’été poétique. Guillevic: Ce Sauvage…

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En ce début d’année, décédait Jean Pierre Liégeois. 59 ans à peine! Peu de temps avant qu’il ne m’informe de sa grave maladie, il m’avait prêté ce petit livre: un poème de Guillevic. Sa soeur a voulu que je le garde, en signe d’amitié. Il est dans mon bureau, sur une petite table. Il m’arrive de l’ouvrir au hasard, certains matins. Sans autres soucis que de lire trois ou quatre vers. Et de remonter jusqu’à leur source. Comme ce matin! Ne me demandez pas pourquoi.

Chronique de Narbonne. Une belle atmosphère de taverne grecque au « Pavillon », à la Nautique, face à Bages…

Le croquis de la semaine de Denis CarrièreUne belle atmosphère de taverne grecque au « Pavillon », à la Nautique, face à Bages. (Il n’y avait aucune voiture sur le parking réalisé  il y a peu de temps, par des âmes charitables, devant cette belle terrasse…)

Chronique de Narbonne. De quelques monuments laissés au bord de la route…

Henri de Toulouse Lautrec-le-jeune Routy-a-Celeyran

Henri de Toulouse Lautrec : le jeune Routy à Celeyran (1882 ; Musée Toulouse-Lautrec, Albi).

 

Le domaine de Céleyran, acheté par la Région 8 millions d’Euros en 2009, est donc à l’abandon. On est incrédule devant les photos produites dans l’Indépendant du 27 juillet (article et photos en cliquant sur: celeyran-lindependant-contreregards) comme autant de preuves à l’appui. On y voit la végétation, les dégradations insidieuses à l’œuvre. Seule l’incurie n’apparaît pas sur la photo, sans doute partie poursuivre son œuvre ailleurs. Mais c’est bien son portrait en bonne et due forme qui est fait ici. Car l’état d’abandon est de notoriété publique: des photographes d’Urbex en ont déjà fait un terrain d’exploration nocturne. Les glaneurs n’ont pas tardé eux aussi à repérer l’endroit.

« Un scandale régional » : Le fantomatique parc d’activités économiques régional du Domaine de Céleyran…

Les abattoirs de la villette


Voilà un article de l’Indépendant ¹  sur le Château de Céleyran qui tombe à pic. C’était le sujet de conversation, et de débat, avec Jean Pierre, lors d’un déjeuner chez un de nos amis communs, vendredi dernier. Je lui rappelais ma critique de l’époque ² quand  Georges Frêche avait annoncé, à grands coups de trompette, comme il en avait l’habitude, le rachat (8 millions €) du domaine en question (330 ha) – ancienne propriété de la famille Toulouse-Lautrec – pour en faire un Parc d’activités économiques régional .

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