« Les 1% les plus riches vont bientôt détenir 50% de la richesse mondiale, soit plus que les 99% restant », « 85 personnes détiennent autant que 3.5 milliards d’autres ». Voilà quelques uns des titres chocs lus depuis la publication d’un nouveau rapport de l’ONG Oxfam sur les inégalités mondiales. Le tout illustré d’infographies, ou de photos choquantes : africains aux yeux couverts de mouches etc. Titres repris sur nombre de comptes Facebook ou Twitter. Et chiffres qui donnent une image totalement trompeuse des inégalités. D’où sortent-ils, d’ailleurs ?
Julien Denormandie a annoncé, le 21 janvier à Pierrefitte, l’envoi imminent d’une circulaire aux préfets visant à « accélérer » les procédures judiciaires contre les marchands de sommeil et à instaurer un magistrat référent au sein des pôles de lutte contre l’habitat indigne.
Une consistance délégation conduite par la vice-présidente de la Région Occitanie en charge de l’économie et de l’innovation, madame Nadia Pellefigue et le directeur d’Ad’Occ, sa filiale, monsieur Thomas Bascaules, s’est rendue à Las Vegas, au salon mondial (CES 2019) des jeunes entreprises innovantes. Dans cette délégation figuraient 28 entreprises régionales, desjournalistes, des élus et des agents de la collectivité régionale aussi !
Dans le microcosme narbonnais, si les pièces principales du jeu politique des prochaines municipales sont en place, les conditions de son exercice ont profondément changé.
Du côté de Nouveau Narbonne (NN), il est désormais acquis que, contrairement au tour précédent, il n’y aura pas de liste concurrente à droite menée par LR.
Lundi matin aux Halles de Narbonne ! Accoudé à un bar, un de mes amis en compagnie de deux autres personnes. Très rapidement la conversation vire au Gilets Jaunes. Je reprends l’une d’entre elles qui s’indignait : « Il se font gazer ! » ; et lui fait observer que ce mot est inapproprié ; que cette comparaison implicite avec le gazage des juifs pendant la seconde guerre est scandaleuse. Il me répond : « le gaz lacrymogène est un gaz, non ? » ; « et pourquoi devrais-je accepter votre champ sémantique, pourquoi me l’imposer ? »