Hier soir (enfin !), réunion publique, au Palais du Travail, à l’occasion de laquelleDidier Mouly nous (nous car j’y étais) a présenté son projet de salle multimodale. La salle était pleine et chaque camp spatialement bien réparti. À droite de la scène occupée par le maire (en regardant la salle) ses adjoints et les représentants de l’entreprise Fayat (gagnante du marché), les opposants à ce projet de l’association «Touche pas à mon parc des sports de Narbonne », notamment ; à gauche, les favorables (une forte délégation de militants de Nouveau Narbonne), et au centre un « marais » » avec toutefois un bon rang (ou deux : je n’ai pas compté) d’élus socialistes au conseil municipal (1) (eux aussi dans l’opposition). J’ai grossi un peu le trait, pour faire image évidemment.
Gros titre (et en « gras ») dans « Le Point » (version numérique) : « ONPC » : Farida Amrani remet à sa place Christine Angot. Ah, ah ! Mais de quoi s’agit-il donc pour que cet honorable journal de centre-droit soit immédiatement suivi par ses confrères de Libé, Les Inrocks etc. (on se tient à la culotte dans cette profession) dans la promotion (mêmes gros titres et mêmes « gras ») de cette médiocre « affaire » ?
J’apprends, sous la synthétique plume d’un conseiller départemental de l’Aude (qui ne choisit pas ses mots avec une pince à sucre), que le sport (il pensait sans doute à l’exercice d’une activité sportive !) serait « un élément » (un gage, peut-être, non ?) « d’épanouissement personnel » (ce qui ne va pas de soi, comme me le faisait remarquer, hier encore, ma mère âgée de 90 ans, mais en parfaite santé mentale et physique, qui jamais ne pratiqua aucun sport de sa vie pour l’essentiel réservée, hélas !, aux durs exercices obligés de nombreuses « femmes au foyer » de son temps – et de condition très modeste. Je pourrais aussi citer le nom d’un ami cher, il se reconnaîtra, d’un extrême raffinement intellectuel et d’une minceur athlétique dont l’énergie physique fut en grande partie consacrée à l’usage immodéré – et risqué : de nombreuses chutes sont à son actif – de son échelle de bibliothèque… ;
Comme il s’écrit à peu près n’importe quoi dans certains médias (pire sur les réseaux sociaux!) sur Saint-Barthélemy : « repaire de milliardaires », un « paradis fiscal » dont les habitants « vivent souvent dans des villas cossues », une petite mise au point me semble nécessaire. Surtout dans les conditions actuelles où beaucoup se plaisent à faire des confusions « déplorables entre les milliardaires propriétaires de villas, qui n’y vivent pas, et les habitants de Saint-Barthélemy, qui y travaillent parfois durement et dont les maisons, souvent loin d’être cossues, ont été dévastées par Irma. »
Ve 31.1.2025 Levé à 4h30. Déverrouillage de l’alarme programmée à 5h30. Monté dans le taxi à 7h. Arrivé à l’hôpital privé du Grand Narbonne à 7h 15. Pris en charge, en mains plutôt, par une première […]
Ve 24.1.2025 Chaque mardi et mercredi, une atmosphère singulière flotte dans les allées de ce magasin à libre-service. Loin de l’agitation habituelle des fins de semaine, elles ne sont empruntées que […]
Me 22.1.2025 Cinéma. Dimanche, à 15 heures, ai vu, au Théâtre + Cinéma – scène nationale Grand Narbonne, le dernier film de Walter Salles : Je suis toujours là. Un grand film qui m’a incité à […]