L’artiste suisse Milo Moiré manifeste pour protester contre les agressions sexuelles commises le soir du Nouvel An en Allemagne le 8 janvier 2016 afp.com/Oliver Berg
Clémentine Autain, figure nationale du Front de Gauche, à propos des violences faites aux femmes à Cologne,écrit ceci :
Dans la foule, des femmes ont subi des attouchements répétés, parfois des dizaines de fois, alors qu’elles fêtaient la nouvelle année dans la rue. 516 plaintes ont été déposées. Ces violences furent organisées. Au Caire, les mêmes faits avaient été commis place Tahrir, déstabilisant la révolution égyptienne. La méthode relève de la violence sexiste de masse préméditée. Elle est inacceptable et révoltante.
Comme tous, ou presque, les représentants des 40000 associations de l’ancienne Région Languedoc-Roussillon, les 1446 maires et leurs adjoints, les 132 présidents d’intercommunalités et leurs élus, les 5 présidents de Conseils généraux et leurs membres, ceux des innombrables syndicats mixtes, des syndicats patronaux et ouvriers, des organismes consulaires et professionnels, écoles, lycées et que sais-je encore tant la liste semble infinie… j’aurais pu recevoir l’invitation d’un, ou de plusieurs, président d’une de ces honorables institutions qui, selon le terme en usage, rassemblent les forces vives d’un territoire pourtant alangui, à sa cérémonie des vœux.
1. L’Arche, notre dernier invité de 2015: audit positif. Le signal pour une meilleure reconnaissance ? Après le conte oriental du Racing, qui ne fut qu’un mirage, règlement de compte à l’Australienne au RCNM ? Journalistes, réseaux sociaux et traitement de l’information. Il est compliqué de s’y retrouver, mais c’est bien la fin d’un monopole des journalistes…
1/ Election de Carole Delga à la région: Alary nommé pigeon-voyageur… 2/ A Narbonne, le maire envoie une première missive à la nouvelle présidente de région… un listing d’incohérences.
Fin de match entre Rocky Elsom et l’équipe constituée de chefs d’entreprises, de dirigeants sportifs, d’hommes politiques et de journalistes locaux qui voulaient (veulent toujours!), quoi qu’ils en disent, le virer d’un club dont il possède pourtant plus de 90% des parts. Une équipe qui croyait détenir son joker financier, une sorte de « mystificateur » à l’étrange pedigree, mis sur le marché par un ancien président du RCNM, et présenté par son « comité de parrainage » comme un « émir » du Qatar possesseur de « fonds » richement dotés en pétrodollars, dont j’avais, ici-même, pourtant, dans mon premier billet consacré à ce fantaisiste conte oriental, montré à quel point il était aussi crédible qu’un chameau s’exerçant au patinage artistique.