Mes Contre-Regards sur Radio Grand Sud FM – Radio Barques – du 18 avril 2015: partie 2

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Partie 2 : Guerre des capitales: Toulouse vs Montpellier, et une nouvelle occasion d’un show Saurel. Suivi d’une autre guerre: celle des Didier, Mouly ayant parait-il « piqué » à Codor son rugbeach estival pour le transférer à Narbonne-Plage. Hourrah, le nouvel abribus du Palais du Travail de Narbonne entre enfin en service…Score final: un platane en moins ! 

Mes Contre-Regards sur Radio Grand Sud FM – Radio Barques – du 18 avril 2015: partie 3

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Partie 3: Henri Martin, une espèce rare (et donc à protéger ?) : le conseiller départemental d’opposition dans l’Aude…évoque la situation politique actuelle dans l’Aude après les élections départementales…ainsi que quelques grands dossiers dont il a la charge au Grand Narbonne. 

Chronique de Narbonne et de la Région : la maladie infantile du socialisme- pas que! – montpelliérain…

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À  lire et entendre Philippe Saurel, notamment, depuis qu’il est annoncé que Toulouse serait la capitale de la future grande région, je ne puis m’empêcher de citer mon « ami » blogueur, également sur Facebook »Stéphane Thépot qui, à l’un de mes commentaires sur un éditorial de la Dépêche du Midi partagé sur la page de Georges Roques , un vieux complice, rajoute ceci: « Pour paraphraser le camarade Oulianov dont la statue trône sur la place du XXe siècle à Montpellier, le populisme serait-il la maladie infantile du socialisme bourquino-frêcho-septimanien ? » Qui dit mieux?  Avec cette précision, tout de même Stéphane! : pas que du socialisme!.. Il, ou elle, est aussi celui, hélas! ,  d’une grande partie de la classe politique régionale. Tous partis confondus …

Qui, de l’UMP ou du PS est menacé de disparaître du paysage politique français?

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Bon, nous y voilà! fini le présidentialisme majoritaire depuis l’adoption du quinquennat, en 2000, qui a affaibli l’image du chef de l’Etat; terminé aussi le bi-partisme Gauche-Droite, qui structurait la vie politique française depuis que le PS d’Epinay avait phagocyté, d’abord, puis réduit à une seule force d’appoint, ensuite, le PCF – qui dominait la gauche dans le champ politique et électoral. Un PCF qui jouait alors, pour le plus grand bénéfice de la droite et du RPR, le même rôle objectif que celui du FN aujourd’hui: empêcher l’UMP et ses alliés d’accéder au pouvoir. Désormais nous sommes devant trois « partis » de forces à peu près égales dont un, comme on peut le constater après ces départementales, qui ne dispose d’aucun allié pour passer le cap des deuxièmes tours, sauf exception: le FN. Ce qui le condamne, de fait, à être le premier parti en voix et le dernier en sièges et mandats.

Chronique de Narbonne. Mouly défait mais Didier satisfait!

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3 à 0 sur les trois cantons de Narbonne au profit du PS-PRG, ce qui n’était jamais arrivé à la droite locale depuis l’élection de son père Hubert, ne semble pas troubler son fils Didier depuis un an son héritier. C’est l’impression que l’on tire d’un long article à lui consacré par Manuel Cudel dans le Midi Libre d’hier. Tout baigne! Les intercommunalités sont toutes à gauche, le département Itou et le FN premier parti en voix, mais Y’a de la joie, nous chante le maire de Narbonne. À l’inverse d’un Py, le patron de l’UMP qui, à juste titre, se remet en question et promeut désormais une droite assumée et libérée d’une quelconque tutelle idéologique du maire de Narbonne; à commencer par les régionales de décembre 2015. Ce qui lui vaut d’être menacé de représailles électorales.