Je n’étais pas à la réunion publique, samedi dernier, organisée au Palais du travail par les « forces de gauche », mais le journaliste de l’Indépendant en a rapporté, à sa manière, les débats — j’écris débats, sans être sûr que ce mot corresponde vraiment à la teneur des discours et des propos échangés.
Alphonse Martinez est un de mes fidèles lecteurs Il commente régulièrement mes billets, aussi. Il y a quelques mois, dans la perspective des prochaines élections municipales, il a créé une association politique « Je suis Narbonne ».
Dans mon billet du 9 septembre « Un rassemblement des forces de gauche, vraiment », j’écrivais ceci : «… Conséquemment, troisième remarque, cette plate-forme, dans ce format, ouvre, objectivement, sur sa gauche, un espace politique à LFI, Génération.s et divers Verts, si je puis dire ; elle crée aussi les conditions d’un transfert de l’électorat « bascouphile » (la droite du PS, et ce qui en reste, centristes et radicaux), vers les listes de madame Granier-Calvet et/ou de la REM (certaines personnalités et proches de J.Bascou ont déjà fait un pas, voire plusieurs, dans cette direction), voire du maire sortant. »
Discussion, hier, sur un trottoir, avec un candidat aux prochaines élections municipales et communautaires. Son objet : « la ressource en eau qui va diminuer et devenir rare — et chère — ». Une discussion lancée dans la continuité d’une banale remarque sur un été éprouvant — caniculaire — et du « ressenti » exprimé de vive voix par des amis viticulteurs et chefs d’entreprise : « si ça continue, dans moins de 10 ans, on va se battre pour avoir l’accès à cette ressource vitale, pour tous ».
Par une ordonnance du 27 août 2019, le juge des référés du tribunal administratif de Rennes a suspendu l’exécution de l’arrêté du maire de Langoët, arrêté municipal réglementant les modalités d’utilisation des produits phytopharmaceutiques sur le territoire de la commune, en raison du doute sérieux sur la compétence du maire pour exercer ce pouvoir de police spéciale.