Je ne reviendrai pas ici sur les conditions administratives et juridiques dans lesquelles madame Umbach quitte ses fonctions de DGS de la Ville de Narbonne, la presse locale et certains membres de l’opposition s’en sont fait largement l’écho. Je dois dire, au passage, que, comme souvent dans ce genre de circonstances, les passions les plus tristes : ressentiment, jalousies, règlements de comptes professionnels (ou, à travers sa personne, politiques) n’ont pas manqué ; ce qui, chez moi, entraîne presque immédiatement une première réaction, disons de bienveillante neutralité.
Il était temps que je fasse un peu de tri dans le tas de notes qui depuis un bon mois s’accumulent dans le plus grand désordre sur mon ordi… Finalement je n’en garde que quelques unes (À la relecture, la plupart se répètent d’un auteur à l’autre)
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Les statistiques (2016) sur le nombre d’assujettis à l’ISF et le montant moyen de la valorisation de leur patrimoine dans l’ex-Languedoc-Roussillon sont, à présent, disponibles. Si Montpellier arrive en tête du classement, par le nombre de contribuables redevables de cet impôt (1208), suivie, sans trop de surprises, par Nîmes (704), Perpignan (487), Béziers (288), Agde (184), Narbonne (183) et Carcassonne (147), il n’en est pas de même si on prend comme seul critère le montant moyen de la valorisation de ces patrimoines.
Au terme d’une longue (et passionnée) procédure, le préfet de l’Aude a donc autorisé (après le dépôt des conclusions des experts sollicités et l’avis favorable des instances départementales concernées), la mise en oeuvre, sur le site Areva-Malvésy de Narbonne, des investissements techniques et financiers nécessaires à la réalisation du procédé TDN-Thor. Il a, de plus, exigé la mise en place d’une instance de contrôle à laquelle devraient être associés des représentants de la « société locale », afin de vérifier en continu sa fiabilité technique, en regard des quantités de rejets prévues.