Madame Nathalie Granier-Clavet n’est plus la 3e adjointe du maire de Narbonne déléguée, notamment, à l’urbanisme. Elle ne pourra pas donc pas m’éclairer, en tant que telle, en tout cas, sur certains aspects juridiques, de la procédure, très particulière, retenue pour l’attribution du marché public concernant la salle multimodale.
En effet, contrairement aux marchés classiques conditionnés par l’interdiction d’associer une entreprise à la conception d’un ouvrage, c’est la procédure dite « conception-réalisation » qui a été choisie par le conseil municipal par une délibération du conseil municipal en date du 24 septembre 2015.
Entretien accordé par Marcel Gauchet et publié dans l’édition « abonnés » de la Matinale du Monde, de ce jour. Version intégrale :
La victoire de François Fillon vous a-t-elle surpris ?
Oui. J’avais remarqué, comme tout le monde, que François Fillon s’était nettement imposé lors des débats télévisés entre les candidats de la primaire, mais je ne pensais pas que l’électorat de droite pouvait se montrer aussi stratège. Il est en général plus fixé dans ses choix. Or, là, il a procédé à grande vitesse et au dernier moment, en fonction de cette offre d’un troisième homme qu’il n’avait pas vraiment perçue, à un calcul de réduction des inconvénients des deux grands favoris : Sarkozy, trop clivant, Juppé, trop consensuel.
L’analyse remarquable de Michel Wieviorka, sociologue, actuel président de la Fondation de la maison des sciences de l’homme, publiée dans l’édition « abonnés » de la Matinale du Monde :
Ce texte paru dans l’édition abonnés de la Matinale du Monde d’hier :
Les institutions, comme la presse, les universités, les syndicats, qui pesaient sur l’opinion, n’exercent plus la même autorité aux Etats-Unis. Leur perte de prestige a préparé la victoire de Donald Trump.
Procédant à un petit « ménage » dans mes dossiers et fichiers – ce qui m’ennuie profondément –, je suis tombé sur cette conférence donnée à titre privée il y a bien une quinzaine d’années. La relisant, je me disais que son sujet – et les débats qui tournaient alors autour – était toujours d’actualité. Aujourd’hui, je ne présenterais pas les choses de la même manière et certains autres développements mériteraient sans doute d’être présentés. Quant au style, il me semble aussi un peu « trop raide ». Mais bon ! je laisse ce texte – qui reprend nombre d’analyses de Blandine Kriegel – en l’état et le pose sur la « toile ». Peut-être trouvera-t-il quelques lecteurs intéressés…
Picasso Pablo (dit), Ruiz Picasso Pablo (1881-1973). Paris, musée national Picasso – Paris. MP72. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]