Pour restaurer la confiance dans le fonctionnement de notre démocratie, le Parlement a adopté deux lois fondées sur des dispositions simples et exigeantes. Un ensemble qui avant, pendant et après son vote a été fortement critiqué par les représentants des vieux partis. Pour la droite, il dépasse les bornes du souhaitable, c’est à dire du statut quo ; pour la gauche, il ne va pas assez loin, ce serait de la poudre aux yeux. Ce qui ne manque pas de sel pour ces deux majorités aux affaires en alternance, et n’ayant rien ou si peu décidé en cette matière depuis plus de trente ans.
Une « baleine rieuse » s’ébat depuis quelques jours dans le flux de mes rares billets estivaux et s’échauffe, car je ne dirai rien des graves menaces que ferait peser l’usine d’Areva sur l’environnement, la santé et la vie des habitants de Narbonne et de ses environs.
Tous les soirs d’été (ou presque), c’est apéritif (pas toujours) au Café de la Paix. Toujours à la même place, à sa terrasse (en réalité un trottoir) le dos au mur, qui offre une « vue » à 180 degrés sur la rue, piétonne dès 19 heures et envahie de tables et chaises entre lesquelles naviguent de petites flottilles de touristes, nombreuses quand un « chanteur » de rue anime le lieu jusqu’à tard dans la nuit.
En vacances, et soucieux de bonnes lectures, on aura remarqué mon retrait (relatif, cependant !) du débat politique, très singulier (je n’insiste pas !) de ces deux mois d’été où le quidam à peu près sain d’esprit s’intéresse plus à la météo du lendemain qu’aux lourds débats quasi quotidiens de l’Assemblée Nationale. Silence que je brise en partie aujourd’hui, juste avant l’apéro habituel, en m’accordant le temps de cette petite « carte postale ».
Tôt, très tôt, de légers crissements qui, certains matins, me font lever des sourcils encore lourds de nuits d’été toujours trop courtes. Suivent, à intervalles plus ou moins réguliers, le son métallique d’une pelle et le souffle un tantinet rageur d’un aspirateur. Rien d’aggressif cependant dans cet ébrouement matinal.
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Me 6.11.2024 Le rêve de Jean Luc. Devant son miroir, tout en se rasant, Jean Luc dicte à son microphone, après avoir pris connaissance de la victoire de Trump, les premiers mots de son commentaire […]