Dans ces Contre-Regards radiophoniques, et cette première partie, il est question des élections régionales 2015, du Sénat et de la réforme territoriale …
Dans ces Contre-Regards radiophoniques, et cette deuxième partie, il est question de la coopération entre les deux CCI de Narbonne et Béziers et du Palais du Travail de Narbonne …
Il y a des moments dans la vie, comme hier, par exemple, où un article de la presse locale vous procure un grand plaisir intellectuel. Ainsi, hier apprenant à la lecture du Midi Libre que Daniel Galy, le président de la CCI de Béziers était présent « aux voeux » de son homologue de Narbonne, Bernard Ballester, et qu’il était décidé à créer une association commune aux deux CCI, afin de rendre ce territoire plus lisible et plus attractif.
Je connais bien Daniel Galy, et il sait que je lui porte de « l’affection », mais je me dois de rappeler ici, qu’il fit, cependant, campagne, dans les années 2000, contre son prédécesseur à la présidence de la CCI de Béziers au motif justement que le Triangle d’Oc, qui associait entre autres ces deux organismes consulaires, et dont j’étais le Délégué Général, portait préjudice au « Bitterois ». Sitôt élu, il en sortit donc.
Dans ma petite ville, il est un grand et volumineux bâtiment public: le Palais des Arts des Sports et du Travail, dont personne ne semble se soucier, alors que, depuis de nombreuses années, son état ne cesse de se dégrader au point, aujourd’hui, d’être entouré de hautes barrières de sécurité afin d’éviter que des plaques entières de « béton-armé » ne tombent sur la tête de curieux, de touristes, de promeneurs ou d’amateurs de l’architecture dite « moderniste ». Des barrières qui rajoutent à l’état de désolation de cet ensemble architectural, comme s’il ne suffisait pas que les marches d’accès à son « jardin » soient défoncées et ses façades, par « plaques », réduites à leurs squelettes de « ferrailles » rouillées. Dernière touche finale pour enlaidir l’ensemble, une structure mobile au design improbable vient, sur son abord immédiat, d’y être installée, pour, m’a-t-on dit, servir de salon de réception lors de manifestations sportives, notamment.
Dans ces Contre-Regards radiophoniques, il est question du grand rassemblement citoyen du 11 janvier à Narbonne, et de la navrante petite histoire d’un musicien de rue qui fut empêché de jouer …