De sournoises et déshonorantes analogies historiques d’une « pendue » carcassonnaise…

 
Elle tient une boutique à Carcassonne et tous les 15 jours discute, sur LCI, avec Eric Brunet – un animateur de la chaîne – des ministres, des médecins et des experts, de la situation dramatique vécue par de très nombreux commerçants indépendants. Ce que j’ignorais !

Une petite journée de manifestation enseignante dans ma modeste cité narbonnaise…

       

J’ai aperçu, hier,  sur la place de l’Hôtel de Ville, une petite troupe de personnes dont certaines brandissaient des drapeaux rouges portant les sigles des organisations syndicales ayant lancé un mouvement de grève national des enseignants et professeurs de l’Éducation Nationale. La Fédération Cornec des parents d’élèves et les mouvements lycéens, étudiants aussi, s’étaient évidemment joints au mouvement. Et ce fut fatalement un spendide fiasco ! 11% de grévistes au plan national seulement, selon les chiffres communiqués par le Ministère.

Il est minuit… Le silence pèse sur la ville…

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
C’est une fin de jour sombre et froide.
Le matin, une petite pluie fine et délicate
lustrait trottoirs et chaussées.
      Quelqu’un revenait du marché…
Sur les toits, le cuivre des vieilles tuiles virait au brun foncé.
 
      L’air était glacé.
 
La porte en acier du parking s’est refermée derrière moi.
Son bruit d’un coup semblait couvrir toute la ville.
Nous rentrions de chez les enfants
où nous avons tiré les Rois !
La fève ne fut pas pour Mila.
      L’ambiance était chaude, paisible et gaie.
 
Cela faisait longtemps…
 
Par la baie, j’aperçois des étoiles. Comme voilées !
La tour de Saint Paul semble à portée de mains.
Une lumière jaune pâle en montre le sommet,
qu’entoure une dentelle de pierre.
 
Il est minuit.
 
C’est une fin de jour sombre et froide.
Le silence pèse sur la ville.
      Il est déjà aujourd’hui…

Cette année a bien commencé. Je passe sur les premiers jours, que j’ai déjà oubliés…

     

4 janvier.

Cette année a bien commencé. Je passe sur les premiers jours, que j’ai déjà oubliés ; pas tout à fait cependant : il a fait froid, le vent était violent – il soufflait par rafales. Un temps à rester chez soi, au chaud ; à n’en sortir que pour acheter ce qu’on appelle désormais des « biens essentiels » : pain, café et de quoi manger. Les autres, accessoires, mais nécessaires : musique, film, séries, livres sont à ma portée : dans mes bibliothèques – la grande, en bois, et la virtuelle, sur le cloud d’Amazon – et sur « Netflix ou en rediffusion sur Arte notamment. Je n’ai donc pas de raisons, disons objectives, d’aller les chercher ailleurs : librairies, salles de cinéma, médiathèques. Quant à celles, subjectives, qui, me serine-t-on, devraient me conduire à y rechercher la présence d’autrui, voire celle de la foule, je n’en discuterai pas ici le sérieux…

Masques et « vérités » de la Région Occitanie…

   

 

 

Carole Delga, la présidente socialiste de la région, comme ses homologues Laurent Wauquiez (Auvergne-Rhône-Alpes) et Xavier Bertrand (Hauts-de-France), entre autres, a refusé de répondre (en invoquant le secret des affaires), directement aux journalistes de Radio-France (Secrets d’infos) sur les marchés exceptionnels, passés sans appel d’offre avant la levée du premier confinement au printemps dernier. Il s’agissait d’une commande de 6 millions de masque, afin de les distribuer pour en offrir deux à chaque habitant de la région, comme elle s’y était engagée.

Articles récents