À gauche Pierre Barnerias ; à droite Serge Abad-Gallardo
Étonnement, je n’ai rien lu sur ce « Hold-Up » tenté sur notre intelligence critique qui nous apprenne quelque chose sur son réalisateur – comme on le fait habituellement – ainsi que sur la composition de son oeuvre. Ce dernier point, il est vrai, ne mérite pas qu’on s’y attarde, tant les différentes séquences de ce film ne sont que des redites et l’ensemble une compilation de tout ce qu’on voit passer sur les réseaux sociaux et les plateaux des chaînes en continue depuis au moins 6 mois.
Faire part du Midi Libre en première page de cette édition dominicale qui nous annonce la (re !)naissance providentielle dans la joie et l’allégresse de notre divine et virginale enfant Carole ! Que sonnent à toutes volées nos merveilleuses et très inspirées cloches communicantes… Alléluia ! Alléluia !
7h30. Il fait encore nuit. Des entrées maritimes, basses, lourdes, menaçantes, rasent les toits, couvrent les arbres. Tout est gris. Les rues sont désertes. Pas un bruit. Une dame en noir apparaît. Elle est masquée ; s’aide d’une cane. Un coup de vent lui fait perdre l’équilibre. Elle s’arrête, se redresse, teste ses appuis et repart. Pour disparaître derrière le mur sale d’un immeuble voisin. Dans un ciel à portée de main, on devine aussi le vol lent des goélands. Dans quelques heures, le vent va se lever. Puissant. Violent. Éclateront alors ces masses sombres. Destructrices. Sur la côte et dans l’arrière pays, des hommes s’y préparent. Dans l’angoisse.
J’ai des « amis » qui, depuis deux jours, ne ferment plus l’oeil de la nuit. Ils vivent à l’heure américaine. Comme si leur vie en dépendait. Une vie qui pour nombre d’entre eux se compte pourtant en un peu plus d’une dizaine d’années. À peine. En étant optimiste !
Je suis devant le clavier de mon ordinateur et ne sais par quels mots exprimer de sang froid ma colère. Le pays souffre et compte ses morts, victimes innocentes d’un terrorisme aveugle à toute humanité et d’un virus indifférent à toute sociabilité.
Je 7.11.2024 Galley au café. C’est une habitude. Devant mon premier café, je lis une ou deux pages d’un Journal littéraire. J’ai donc ouvert ce matin celui de Matthieu Galey. Pourquoi ? Parce que je […]
Me 6.11.2024 Le rêve de Jean Luc. Devant son miroir, tout en se rasant, Jean Luc dicte à son microphone, après avoir pris connaissance de la victoire de Trump, les premiers mots de son commentaire […]