Narbonne ! Municipales2020 : Échos de campagne, suite…

Narbonne. Hôtel de ville.
   

Surpris et agacé par la place accordée par, et dans, l’Indépendant à cet olibrius venu de nulle part dont je tairai le nom, et qui, dans les pages de ce journal, décline benoîtement un programme municipal et des projets absurdes. Une faculté de médecine, un Rungis à ciel ouvert, 10 000 emplois, 5000 étudiant…

Narbonne ! Municipales 2020 : Quelques remarques sur la polémique entre Bertrand Malquier et Nicolas Sainte Cluque

 
Narbonne. Hôtel de ville.
 

Bertrand Malquier accuse Nicolas Sainte Cluque de plagiat, le second prétendant le contraire. Le sujet de la polémique étant « l’aménagement des berges de la Robine » selon l’Indépendant du jour. Je vais donc mettre les deux candidats d’accord, sur un point seulement : la date et l’origine de ce projet en débat, en reprenant ce que j’écrivais dans mon blog le 20 novembre 2019, sous le titre : « Narbonne ! Municipales2020 : À mon tour d’entrer en campagne ! ». Voici :

Narbonne ! Municipales 2020 : Transferts politiques croisés et brouillages idéologiques…

 
Narbonne. Hôtel de ville.
 

Nous n’aurons jamais vu autant de « transferts » politiques croisés que dans cette dernière « campagne » des municipales. Impossible ici d’en dresser la liste complète : il me faudrait quadrupler le format habituel de ces textes. Je n’en présenterai donc que quelques uns, particulièrement représentatifs, pour en montrer l’importance.

Narbonne ! Municipales2020 : la piqure de rappel du PCF à ses électeurs et alliés…

 

     

L’on ne saurait reprocher aux communistes narbonnais de la constance dans l’expression publique de leur stratégie politique. Pour eux, l’apolitisme – le terme apartisan, me paraît toutefois plus pertinent : gérer une ville, c’est évidemment faire de la politique – affiché par les listes conduites par Didier Mouly, le maire sortant , Madame Granier-Calvet, l’ex-adjointe de ce dernier et David Granel, soutenu par la REM, sont des listes libérales et de droite.

Scène de la vie narbonnaise (et d’ailleurs aussi) : Une terrasse place de l’Hôtel de Ville… et l’oubli !

   
Denis Carrière : café de la Paix. Capestang (34)
   

M. est un ami. Il me dit ne pas pouvoir rester assis à la terrasse d’un bistrot plus de 15 minutes ; et s’étonne toujours que je puisse y passer « deux heures » sans m’ennuyer. Comme hier où le temps était favorable à cette immobile et prenante activité.

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