Surpris et agacé par la place accordée par, et dans, l’Indépendant à cet olibrius venu de nulle part dont je tairai le nom, et qui, dans les pages de ce journal, décline benoîtement un programme municipal et des projets absurdes. Une faculté de médecine, un Rungis à ciel ouvert, 10 000 emplois, 5000 étudiant…
Nous n’aurons jamais vu autant de « transferts » politiques croisés que dans cette dernière « campagne » des municipales. Impossible ici d’en dresser la liste complète : il me faudrait quadrupler le format habituel de ces textes. Je n’en présenterai donc que quelques uns, particulièrement représentatifs, pour en montrer l’importance.
L’on ne saurait reprocher aux communistes narbonnais de la constance dans l’expression publique de leur stratégie politique. Pour eux, l’apolitisme – le terme apartisan, me paraît toutefois plus pertinent : gérer une ville, c’est évidemment faire de la politique – affiché par les listes conduites par Didier Mouly, le maire sortant , Madame Granier-Calvet, l’ex-adjointe de ce dernier et David Granel, soutenu par la REM, sont des listes libérales et de droite.
M. est un ami. Il me dit ne pas pouvoir rester assis à la terrasse d’un bistrot plus de 15 minutes ; et s’étonne toujours que je puisse y passer « deux heures » sans m’ennuyer. Comme hier où le temps était favorable à cette immobile et prenante activité.
Picasso Pablo (dit), Ruiz Picasso Pablo (1881-1973). Paris, musée national Picasso – Paris. MP72. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]