Narbonne doublement humiliée par Béziers !


Photo Indépendant du 15 mars 2018


Robert Ménard exulte ! Après que l’A.S Béziers eut mis une « rouste » historique au RCNM, sur son propre terrain : 68 points ! voilà qu’il enregistre une nouvelle victoire symbolique retentissante, devant la Cour d’Appel de Paris – elle vient de le relaxer de sa condamnation en première instance pour incitation à la haine raciale. Et comme si la première humiliation sportive subie par les narbonnais ne suffisait pas à leur malheur, la journaliste de l’Indépendant commentant cet épisode judiciaire …, présente en photo la « trombine »  du maire de Béziers… surmontée de l’écusson de la Ville de Narbonne. Une double peine en quelque sorte ! La seconde ajoutant au châtiment sportif de dimanche dernier la prise en otage de la conscience politique et morale des Narbonnais. La manipulation des images, sans pincettes, n’est pas sans risques. La preuve !

Trois « notes » sur un premier casting journalistique pour les prochaines municipales…

 

 
   

Pleine page dans « l’Indep » local sur les candidats potentiels aux prochaines élections municipales. Didier Mouly, le maire sortant, lui, s’était déjà publiquement déclaré, quant aux autres personnalités de ce casting journalistique : Catherine Bossis et Nicolas Sainte Cluque pour le PS – Cf mes analyses sur leur opposition de « ligne » et leur désir d’en découdre – et Alain Perea, le député LaREM – soucieux, bien évidemment, de « jouer un rôle » –, rien de nouveau  dans ce « dossier », pour ceux qui lisent régulièrement ce blog, en tout cas. Les absents, par contre, étonnent, et je pense surtout et encore au PS et à Marie-Hélène Fabre en particulier.

Le RCNM « aux portes de l’Enfer » !…

   

Le Penseur de la Porte de l’Enfer. Rodin

 

Le président du RCNM, Bernard Archilla a le sens des « symboles ». Recevant hier son adversaire historique, l’AS Béziers, il s’est offert un tour d’honneur avant le match, écharpe orange et noire brandie à la face du public. Une fanfaronnade aussi déplacée que profondément ridicule.

Requalification du centre-ville : mais quel avenir pour l’îlot de l’église de la Major ?

       

Je ne m’oppose pas, par principe, à la cession d’actifs, notamment immobiliers, d’une collectivité publique. Loin de là ! L’État le fait, les communes aussi. Souvent à raison, parfois non. De sorte que la seule question qui importe est celle de son utilité et de l’avantage, ou pas, qu’en tire l’autorité cédante. Ma petite ville ayant décidé de vendre aux enchères cinq ensembles d’immeubles, dont deux en centre-ville, c’est à l’aune de cette « balance » qu’il convient d’en apprécier l’opportunité.

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