Le XV de France face à la Nouvelle-Zélande – 17 octobre 2015 – AFP
L’équipe de France de rugby à XV produit le même jeu que celui proposé en Top 14 et en Pro2: stéréotypé, ennuyeux, prévisible. La prise de risque et le droit à l’erreur y sont bannis. Comment s’en étonner? Graham Henry, l’ancien coach des All Blacks, champion du monde en 2011, n’y va pas par quatre chemins. Le coupable de l’humiliante défaite française contre la Nouvelle-Zélande samedi soir en quart de finale (62-13), n’est pas Saint-André ou les joueurs, mais bien le Top 14, le soi-disant « meilleur championnat du monde ». « La compétition française est pauvre », explique-t-il au New Zealand Herald. « C’est la compétition professionnelle la mieux payée du monde, mais elle ne peut pas produire de joueurs parce qu’ils sont mal coachés et surpayés ». Boum!t Et d’insister, en tapant une belle chandelle: « Tout n’est qu’une histoire de sponsors et de télé. Ils sont en train de ruiner le rugby français ». Les raisons de la médiocrité de notre rugby sont structurelles, en effet.
Intensité, vélocité, habileté. Des avants adroits comme des trois quarts, des trois-quarts puissants comme des avants. Puissance et adresse réunies en chacun des joueurs. Et une même intention collective: produire du jeu. Faire vivre le ballon. Toujours…
Le Monde était un journal de référence, il est devenu un journal comme les autres. Plus subtilement orienté que ses concurrents et conséquemment plus efficace. Ainsi ce papier sur les affrontements et les violences quotidiennes entre soldats israéliens et palestiniens. Avec cette accroche, qui m’a fait bondir. « Alors que des Palestiniens jetaient des pierres sur des soldats israéliens près de Ramallah, 4 hommes présents dans leurs rangs leur ont tiré dessus. » Quoi, nos forces de police infiltrent les manifs en se déguisant en manifestants de base ou en casseurs professionnels, et celles de l’État d’Israël, dans un contexte autrement plus violent ne le devraient pas. Car c’est cela qui implicitement était « visé » par le Monde. Moins les faits par eux mêmes, que chacun peut juger comme il l’entend. Sur le plan moral ou politique. Ses lecteurs l’ont bien compris ainsi: 1822 likes et près de 1400 partages, rien que sur Facebook. Et dans les commentaires, les mots souhaités sont là. Lâcheté, pour l’armée israélienne étant le plus usité… Bon coup, pour le Monde, et objectif atteint…
Alors là, « gonflée » dame Delga. Dans un débat avecDominique Reynié, elle affirmait avoir la garantie du Ministre Vidalies, que la programmation de la ligne TGV Bordeaux-Toulouse, pour 8,5 milliards d’euros, annoncée officiellement ces jours derniers, « n’obèrera pas la ligne Montpellier-Perpignan ». La preuve? La lettre qu’elle aurait reçue du-dit Ministre, en réponse à sa demande d’explication. Bien ! Alors, dosons nos mots. De deux choses l’une. Ou madame Delga ne l’a pas lu, ou elle ne sait pas lire. Cette lettre, la voici (PDF) dans son intégralité. Sa conclusion est nette :
24 millions d’euros pour de seules études pré-opérationnelles, dont 12 millions de l’Europe, sur la période 2014-2020, pour Montpellier-Perpignan. On est très loin des 6 milliards (estimation RFF 2014) nécessaires à sa réalisation… après 2020. Rappelons aussi que le tronçon entre Nîmes et Montpellier est en construction avec une mise en service prévue en 2017.
Fin de la séquence conciliation entre ATBC et la SNN! Le président de la SNN Robert Dejean, est venu sans partition devant monsieur Raguin, le conciliateur de justice. La musique est finie, de son point de vue, et l’association À Tout Bout De Chant doit ranger ses instruments le 23 mars 2016, date anniversaire de la signature de la convention la liant à la SNN !
Je 7.11.2024 Galley au café. C’est une habitude. Devant mon premier café, je lis une ou deux pages d’un Journal littéraire. J’ai donc ouvert ce matin celui de Matthieu Galey. Pourquoi ? Parce que je […]
Me 6.11.2024 Le rêve de Jean Luc. Devant son miroir, tout en se rasant, Jean Luc dicte à son microphone, après avoir pris connaissance de la victoire de Trump, les premiers mots de son commentaire […]