Des vignobles vallonnés à perte de vue. Des propriétés de charme. Des caves fraîches où l’on déguste des nectars… le tourisme œnologique ne date pas d’hier. Nombreux sont les connaisseurs qui visitent régulièrement les caves afin de dénicher à bon prix les bouteilles qui, le temps venu, orneront leurs tables. Mais cet œnotourisme traditionnel est aujourd’hui en pleine révolution. Objectif : conquérir de nouveaux publics, plus jeunes, plus internationaux, susceptibles d’apporter aux régions viticoles des compléments de revenu particulièrement précieux dans un temps où la consommation de vin a tendance à stagner et où la concurrence s’exacerbe.
Réchauffement climatique, transition énergétique, nouveaux usages aussi des coeurs de ville – ce sont de moins en moins des espaces commerciaux, au sens traditionnel du terme – , de la part des résidents permanents, comme des touristes, notamment, contraignent les élus à penser la ville (et y vivre) autrement.
Retour de LLafranc. Si près… et si loin. Une autre langue, d’autres habitudes sociales : on y déjeune et dîne à « pas d’heures » et au « 20 heures de TF1 ou de la 2 » : promenades en famille sur le petit et charmant front de mer… Le calme, surtout ! Pas de voitures, ni de musique d’ambiance dans les restaurants ou aux terrasses de cafés…
Le Conseil Régional d’Occitanie a attribué une subvention d’1,5 millions d’euros pour aider à la reconstruction de Notre-Dame. Seuls les élus de la France Insoumise ont refusé de voter cette aide au motif que les collectivités locales n’ont pas à être « solidaires avec l’État pour des travaux qui relèvent de sa compétence au titre de la loi de 1905″.
Je m’oblige à regarder les JT et les publicités qui les suivent pour ne pas me couper définitivement de cet « esprit public » modelé quotidiennement par leurs créateurs. Certains m’en feront évidemment le reproche et me conseilleront d’aller voir un de leurs amis psychothérapeutes pour m’en éloigner le plus vite possible. L’inconvénient, si tant est qu’eux mêmes n’en soient pas les « victimes », en serait toutefois de ne rien comprendre aux désirs et comportements massivement stéréotypés qui animent notre vie sociale.