Défense de cette « Haute Fonction Publique » aujourd’hui vilipendée…

The Scapegoat (Le Bouc émissaire), tableau de William Holman Hunt, 1854-1856

Haro sur les « énarques », les « technos », ces responsables de tous les maux qui accablent le pays, la République et ses gouvernants. Eux qui brideraient « l’audace du chef de l’État, freineraient l’application de ces décisions concernant l’augmentation du smic ou l’annulation de la hausse de la CSG pour les retraités touchant moins de 2 000par mois.

Au Grand Narbonne, le feu couve encore sous son crématorium…

     

C’était jeudi au conseil communautaire ! Comme prévu la délibération à l’ordre du jour portant création d’un deuxième crématorium a mis le feu aux poudres. Le groupe d’Henri Martin, celui de Didier Mouly et des conseillers « volants » se sont retrouvés dans le secret des délibérations pour trancher dans le vif (façon de parler !). À la sortie égalité parfaite ; et donc, selon une règle bien établie, rejet de la proposition de Jacques Bascou.

Qui, mais qui veut-on à la fin ?

Comme tous les « printemps des peuples », cet « automne jaune » couve en son sein ses ennemis les plus conséquents : ceux qui s’attaquent aux œuvres d’art les plus symboliques de la République, comme ceux qui légitiment leurs actes  en les noyant sous un épais sirop d’humanisme mielleux. 

De belles « Rencontres Archéologiques de la Narbonnaise », mais sous « capitalisées par les collectivités…

Salle des Synodes : Narbonne.

Marc Azéma, le réalisateur de la société Passé Simple* et archéologue lui-même, peut-être satisfait : ses Rencontres Archéologiques de la Narbonnaise ont en effet accueilli beaucoup de monde. Le programme de très grande qualité et la notoriété internationale des conférenciers invités, comme Jean Guilaine, Jean Paul Demoule, Jean Claude Golvin, notamment, ne pouvait qu’attirer les professionnels et les curieux de cet ensemble foisonnant d’activités peu ou prou liées à l’archéologie sous toutes ses formes.

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