Que de haine dans cette campagne électorale ! J’avais prédit qu’elle serait d’une grande violence, mais j’étais loin d’imaginer un tel torrent quotidien d’attaques, de coups bas, de trahison, d’insultes ; de procès en tout genre : judiciaire, moral, en incompétence, diffamation ou mauvaises mœurs ; de concerts de casseroles, de féroces sifflets, de bousculades enragées ; de jets d’œufs, d’injures ; de rumeurs… par vagues sans cesse grossissantes sur les réseaux sociaux, chaînes d’informations, etc.
Je passe en revue le flux de l’actualité politique française sur mes comptes Facebook, Twitter et mes favoris de la presse nationale et régionale. Autant l’avouer tout de suite : je ne m’arrête sur aucun des « posts », articles et analyses qui y sont consacrés, ou rarement, selon qui les signe. Je zappe aussi les «grandes émissions politiques» , à la télé ou à la radio. Je n’ai pas lu le livre-programme de Fillon, ni les propositions pour la France et les Français de Marine Le Pen, celles de Benoît Hamon, Jean-Luc Mélenchon, comme celles qui sont à venir des autres candidats de gauche, de droiteou du centre.
Des pétionnaires Narbonnais reçus par le maire, Didier Mouly, pour exprimer leur opposition à l’implantation de la « Grande Salle » au Parc des sports et de l’amitié. A propos d’amitié, pour les handicapés qui veulent aller voir jouer le Racing dans ce même Parc des sports vient de surgir un nouveau handicap à Narbonne: la bureaucratie tatillonne.
Ça fait beaucoup : sondeurs, experts, éditorialistes des grands médias parisiens, commentateurs des commentateurs prédisaient que l’Angleterre resterait dans l’Union Européenne ; qu’Hillary Clinton battrait évidemment Donald Trump ;
Tout a été dit, ou presque, pendant sa campagne et après, sur la grossièreté, la vulgarité, et certains des propos ignominieux de celui qui est aujourd’hui le président de la première puissance mondiale. Inutile donc d’en rajouter ici. Les médias et les réseaux sociaux français, pour la majorité d’entre eux, encore sous le choc, ne cessent de nous le répéter : ce président n’est pas un Père Noël, mais une « ordure », et ses électeurs sont de « pauvres cons ». Point !
Elle est allée dans sa chambre. Elle est revenue. Elle tenait un disque. Marcel Amont. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
Déjeuner à l’Auberge des Jacobins. Nous y avons nos habitudes. Vanessa est à l’accueil. André est en cuisine. Ils sont jeunes. Ils sont sympathiques. La cuisine est simple. Les prix sont […]
Hier matin, boulevard Gambetta. M… Avec lui, c’est comme ouvrir une radio. Toujours la même musique : ce qui casse, ce qui brûle, ce qui rate. Le reste, ce qui fonctionne, ce qui tient encore debout, […]
Il était assis là, droit comme il pouvait encore l’être. Une doudoune, un souffle un peu court, les gestes comptés. Sur ses genoux, un petit chien. Léger. Silencieux. Les yeux tournés vers la porte, […]