Je passe en revue le flux de l’actualité politique française sur mes comptes Facebook, Twitter et mes favoris de la presse nationale et régionale. Autant l’avouer tout de suite : je ne m’arrête sur aucun des « posts », articles et analyses qui y sont consacrés, ou rarement, selon qui les signe. Je zappe aussi les «grandes émissions politiques» , à la télé ou à la radio. Je n’ai pas lu le livre-programme de Fillon, ni les propositions pour la France et les Français de Marine Le Pen, celles de Benoît Hamon, Jean-Luc Mélenchon, comme celles qui sont à venir des autres candidats de gauche, de droiteou du centre.
Des pétionnaires Narbonnais reçus par le maire, Didier Mouly, pour exprimer leur opposition à l’implantation de la « Grande Salle » au Parc des sports et de l’amitié. A propos d’amitié, pour les handicapés qui veulent aller voir jouer le Racing dans ce même Parc des sports vient de surgir un nouveau handicap à Narbonne: la bureaucratie tatillonne.
Ça fait beaucoup : sondeurs, experts, éditorialistes des grands médias parisiens, commentateurs des commentateurs prédisaient que l’Angleterre resterait dans l’Union Européenne ; qu’Hillary Clinton battrait évidemment Donald Trump ;
Tout a été dit, ou presque, pendant sa campagne et après, sur la grossièreté, la vulgarité, et certains des propos ignominieux de celui qui est aujourd’hui le président de la première puissance mondiale. Inutile donc d’en rajouter ici. Les médias et les réseaux sociaux français, pour la majorité d’entre eux, encore sous le choc, ne cessent de nous le répéter : ce président n’est pas un Père Noël, mais une « ordure », et ses électeurs sont de « pauvres cons ». Point !
Nouveau Narbonne, dans un communiqué d’un laconisme inhabituel, vient de vider son sac en prenant la maindeJacques Bascou dans… un sac de nœuds, et de poubelles !