Paroles de Luc : « Le jour de la Pentecôte, ils étaient tous ensemble dans le même lieu. Tout à coup il vint du ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux, et il remplit toute la maison où ils étaient assis. Des langues, semblables à des langues de feu, leur apparurent, séparées les unes des autres, et se posèrent sur chacun d’eux… » Et il fut dit, à Gruissan, lors d’une réunion du Comité Économique, Social et Environnemental Régional (CESER) que la région LRMP serait une « puissance maritime ».
Il y a trois jours, à propos de la rémunération de Carlos Ghson, je faisais observer que « dans une société où il est demandé des sacrifices financiers à chacun, ces revenus aux sommets vertigineux apparaissent comme des contre-modèles d’exemplarité. Pour ne pas dire de décence. »
Conférence de Carlos Ghosn crédits Ecole polytechnique Université de Saclay (CC BY-SA 2.0)
En 2010, j’avais écrit un billet, que je remets en ligne aujourd’hui après que Renault a décidé, contrairement à la décision prise par son Assemblée Générale réunie le 29 avril, de maintenir le salaire de son PDG malgré le vote contraire des actionnaires. Une enveloppe de 7,2 millions d’euros jugée «excessive» pourtant par le cabinet de conseil aux investisseurs Proxinvest. D’autant plus que cette rémunération s’ajoute aux 8 millions d’euros perçus au titre de ses fonctions de PDG de Nissan, une société détenue à 43,4 % par Renault, comme le précise le journal La Croix, dans son édition du 1 mai…
500 000 dollars (407 000 euros) ! C’est le montant évoqué par Barak Obama pour des dirigeants de sociétés renflouées par l’Etat fédéral à l’automne 2009.
Un article sur « l’entente des villes de Carcassonne, de Narbonne et Béziers » sur le Canal du Midi, et un entretien d‘André Viola avec Laurent Costes, dans l‘Indépendant du jour, ont retenu mon attention. Ou plutôt m’ont fait bondir! Le premier par ce qu’il ne dit pas, le second par une question posée, et sa réponse…