Dimanche de Pâques aux Halles, les joueurs du RCNM , plein centre, cassaient des oeufs. Ils faisaient « pâquette ». Des amateurs et des supporters goûtaient; et buvaient. L’ambiance était à la fête. Celle d’une foi collective en une nouvelle vie, dans la paix d’un club ressuscité.
Ne tournons pas autour du « tonneau » (1), c’est l’acte final d’une tragi-comédie australo-narbonnaise qui se joue en ce moment. Le premier avait vu la montée au front de Didier Mouly, qui exigeait la minorité de blocage pour des « narbonnais ». Vite renvoyé dans ses « 22 », Monsieur Ysern et son faux Qatari prenaient le relais. Expédiés eux aussi dans les choux, l’assiégé australien en profitait pour virer entraîneur et sponsors historiques locaux. Fin du deuxième acte, et ouverture du troisième, en ce début de Semaine Sainte. Un comble!
« Une double explosion a eu lieu à l’aéroport de Bruxelles vers 8 heures, dans le grand hall des départs. Au moins une personne est morte, et plusieurs sont blessées, selon un bilan provisoire. Une autre explosion est survenue à la station de métro Maelbeek, dans le quartier des institutions européennes. Aucun bilan n’est connu à l’heure actuelle. L’origine de ces explosions est pour l’heure inconnue. » C’est l’Info du Monde! Origine inconnue! Et ce au lendemain de l’attaque d’une mission de l’Union Européenne au Mali, cinq jours après l’arrestation d’un des kamikazes du Bataclan dans la banlieue bruxelloise. Un hasard sans doute!
Ce stationnement gratuit d’une durée de 1 heure dans le parc à voitures de la Médiathèque, Michel Moynier, maire de Narbonne, l’avait institué et conservé quand il était, dans le même temps, président de la Communauté d’Agglomération, gestionnaire de l’équipement culturel Médiathèque. Jacques Bascou, son successeur, de gauche, à la mairie et à l’Agglo, a maintenu cette répartition des rôles et des financements, à la satisfaction générale des abonnés narbonnais.
Elle est allée dans sa chambre. Elle est revenue. Elle tenait un disque. Marcel Amont. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
Déjeuner à l’Auberge des Jacobins. Nous y avons nos habitudes. Vanessa est à l’accueil. André est en cuisine. Ils sont jeunes. Ils sont sympathiques. La cuisine est simple. Les prix sont […]
Hier matin, boulevard Gambetta. M… Avec lui, c’est comme ouvrir une radio. Toujours la même musique : ce qui casse, ce qui brûle, ce qui rate. Le reste, ce qui fonctionne, ce qui tient encore debout, […]
Il était assis là, droit comme il pouvait encore l’être. Une doudoune, un souffle un peu court, les gestes comptés. Sur ses genoux, un petit chien. Léger. Silencieux. Les yeux tournés vers la porte, […]