Dans l’Indépendant, toujours bien informé, « hier », le trou financier du RCNM était de 700 000€ et la relégation quasi certifiée, aujourd’hui, il n’avoisinerait, selon ses sources, que 300 000€, et la descente en Fédérale moins assurée. Pour ne pas dire improbable – la relégation! Ce qui est plus sérieux. Un « proche du dossier », auquel se réfère le rédacteur de cet article, n’affirme -t-il pas en effet que : « Certains clubs affichent en fin de saison des pertes bien plus importantes mais ces clubs ont à leur tête des présidents capables d’apporter des garanties et de rassurer le DNACG« .
Eh bien nous y sommes! Le dernier acte de la pièce dont le roi n’est pas un enfant mais l’historique club de la ville: le RCNM, vient de s’ouvrir. Sa durée: dix jours. Dix jours pour faire appel de la décision du Conseil Supérieur de la DNACG de rétrograder les clubs de Biarritz, Bourgoin et Narbonne en Fédérale 1, pour motifs financiers.
Guy Molveau, le président du Comité des Sages, constitué à la demande du maire Didier Mouly pour tenter de trouver une solution au conflit entre Monsieur Caussinus, le président de l‘association du RCNM, et Monsieur Elsom, le patron de la SASP RCNM, l’avoue: « Notre marge de manoeuvre reste limitée, et l’existence de ce Comité pourrait être brève ».
Difficile de saisir « la conscience de soi » d’une équipe de rugby. Hier pourtant, on ne pouvait pas ne pas ressentir le puissant désir du XV de la Rose d’effacer de sa mémoire son humiliante sortie, lors du dernier Mondial, sur ses terres. C’était un accident, semblait-elle nous dire sur la pelouse du Stade de France. Et la démonstration fut faite. Cinq mois après seulement. Et avec pratiquement les mêmes joueurs – 24 ans d’âge moyen. Grand chelem! Le premier depuis 2003. Qui dit mieux? Il fallait du caractère et une capacité de résilience exceptionnelle pour conclure ainsi, magnifiquement, ce tournoi des Six Nations.
Lecture d’avant France-Écosse, ce dimanche 13 mars.
Nathalie est une amie blogueuse ( le blog de Nathalie MP) qui , pour des raisons personnelles et professionnelles, a eu l’occasion de rencontrer Philippe Saint-André, juste après la sortie de son « Devoir d’inventaire ». Elle nous livre ici, dans ce texte, quelques variations sur son entretien avec l’ancien sélectionneur du XV de France.
Je 7.11.2024 Galley au café. C’est une habitude. Devant mon premier café, je lis une ou deux pages d’un Journal littéraire. J’ai donc ouvert ce matin celui de Matthieu Galey. Pourquoi ? Parce que je […]