Je lis sur la page d’un « ami » Facebook, qui, tous les jours, exprime sa colère envers la politique menée par l’actuel gouvernement et se fait l’inconditionnel promoteur des « Dits et écrits » de monsieur Mélenchon, cette citation de Charles Bukowski : « Le problème avec le monde, c’est que les gens intelligents sont pleins de doutes tandis que les plus stupides sont pleins de confiance ».
Si la mégalomanie s’exprime, dans les cas les plus aigus, par une surestimation de soi qui amène les personnes atteintes de ce travers caractériel à s’attribuer des actions prestigieuses, des dons exceptionnels, dans ses aspects les plus doux, si je puis dire, elle peut néanmoins, aussi, soutenir ou augmenter l’estime de soi de certaines personnes.
Jeudi, 17h20. C’est l’heure à laquelle Mila et moi longeons le boulevard qui nous sépare du Palais du Travail. Comme tous les jeudis, nous nous rendons à son studio de danse. D’habitude, seuls des collégiens en grappes occupent les escaliers et le parvis de ce bâtiment public de style « moderne » : ils attendent leurs bus.
Madame Foresti vomit Polanski, mais ne crache pas sur 130 000€ pour, aux César, bassement le « tuer » : « Atchoum , Roman ! Petit, veule, violeur, blanc et riche ! » Vil et facile. Violence d’artiste.
Toute une page, la 7, dans le Midi Libre de ce dimanche, dans la rubrique « Municipales », avec ce titre en gros et gras : « Ce que pensent les candidats des projets de l’usine Orano-Malvési ». Et le rédacteur de cet article de nous rendre compte de la manifestation d’hier – où était présente toute la galaxie anti-nucléaire de la région, masquée ou pas – et des réponses apportées par les candidats aux municipales aux deux questions posées par le Président de l’Association « Transparence des canaux de la narbonnaise ».
Le sapin est bleu, le givre est froid. Mais au sommet, dans les ailes d’un papillon, brille une étoile rouge. Elle est l’étincelle de la bienveillance. C’est elle qui réchauffe l’image et […]
Samedi. Ou peut-être jeudi. Je terminais mon tour de ville. À hauteur du café « Le Duplex », je pensais à Pierre. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
Hier midi, au début des Barques. Là où la ville se raconte qu’elle est un décor. Ils étaient trois. Un couple de cols verts et leur petit. Neuf et maladroit. […]
Ce matin, aux Halles. Chez Laurent Chamayou. À l’heure où l’on se retrouve. Des amis qui aiment l’Espagne. Qui aiment Jerez, le flamenco et ses bodegas. Séville, son élégance et sa féria. Sanlúcar […]
Lu dans l’Indépendant du jour : « l’Occitanie résiliente entend proposer un nouveau modèle de développement pour assurer la souveraineté économique, énergétique, sanitaire et alimentaire […]