Les parcs des expositions ont pour vocation première d’accueillir des rencontres professionnelles (congrès, séminaires, réunions) et des manifestations commerciales (salons professionnels ou grand public, foires). Ce sont des équipements « structurants » pour un territoire, des vitrines importantes pour accroître leur rayonnement. Ce que veut être celui du Grand Narbonne et qu’illustre sa programmation d’une rare et extravagante originalité. Ainsi, du 31 mai au 2 juin, durant le week-end de l’Ascension, la Narbonnaise va présenter une image entreprenante par le moyen, audacieux, d’un renversant, si je puis dire, salon de l’Apéro. Une première mondiale où plateaux de fruits de mer et de charcuterie, boissons anisées, boules de pétanque et chaises longues seront présentés, de fait, comme de puissants attracteurs économiques. On se gondole ! Précédés d’évènements tout aussi culottés comme un salon du Tatouage et une exposition de Dinosaures, on mesure ainsi combien ce Parc est devenu au fil du temps une « boîte « fourre-tout » qu’on emplit de bric et de broc pour remplir des caisses toujours à moitié vides. Ce qui n’est pas rien, si je puis dire, mais qui est très loin, on en conviendra, de sa vocation première ! La séduisante vitrine n’aura donc vécu qu’au temps de sa conception, dans les bureaux de ses promoteurs. Et l’image rayonnante et attractive de Narbonne et de son territoire, qui n’a plus besoin de lui, avec…
Le « hijab » de sport devait prendre place dans les rayons des Décathlon de France dans les prochaines semaines. Une annonce qui a provoqué un tollé dans la classe politique ; et un déferlement de propos d’une violence inouïe sur les réseaux sociaux*.
En faisantsavoir qu’il serait présent dans le combat des « municipales », en premier de cordée ou pas, Alain Perea, a fait aussi réagir Mesdames Bossis (vice-présidente Ps du conseil départemental) et Granier (ancienne adjointe à l’urbanisme du maire NN), présentées par le député de LREM lui-même comme des personnalités aux profils politiques et « caractères » correspondant à la philosophie générale de son mouvement avec lesquelles ils souhaiteraient « travailler ».
L’Institut Montaigne vient de livrer son dernier baromètre des territoires. Un coup de projecteur sur la région Occitanie y figure en bonne place. Et l’image qui apparaît, à mille lieux de la communication de l’institution régionale, est fort instructive.
#Antisémitisme#Antisionisme. Ah ! les pudeurs sémantiques de ceux qui nous expliquent savamment, ou bêtement, la différence substantielle entre antisémitisme et antisionisme, et qui feignent d’ignorer que « le sale juif » d’antan étant, aujourd’hui, sévèrement réprimé par la loi, le racisme anti juif s’exprime désormais en toute impunité par l’effacement du « juif » au profit du « sioniste »…